Églises de Metz
Metz comptait à la fin du Moyen Âge de très nombreuses églises. Outre la cathédrale Saint-Étienne, elle abritait de nombreux monastères, dont huit bénédictins, fondés au cours de sa longue histoire de cité antique puis de capitale de royaumes francs. Les monastères les plus importants sont alors Saint-Vincent, Saint-Arnoul (masculins) et Sainte-Glossinde et Saint-Pierre-aux-Nonnains (féminins). Au sud de la ville, hors les murs, le quartier du Sablon était jalonné de basiliques parfois d'origine antique, comme Saint-Clément et Saint-Pierre-aux-Arènes.
L'essor urbain des XIe et XIIIe siècles multiplie la population de Metz : elle compte alors 20 paroisses dont 17 à l'intérieur des murailles. Comme dans toutes les grandes villes, de nouvelles communautés s'installent alors à Metz, dont les ordres mendiants : Franciscains, Dominicains, Carmes, et des bénédictins réformes, comme les Célestins. Les églises de Metz ont subi les destructions des époques moderne et contemporaine, notamment du siège de 1552. Seules 4 des 17 paroisses ont conservé leur église médiévale aujourd'hui : Saint-Martin, Saint-Eucaire, Saint-Maximin et Sainte-Ségolène. Mais des objets, des fragments architecturaux ou des livres permettent de reconstituer ce patrimoine.
Abbayes
- Abbaye Notre-Dame du Pontiffroy
- Abbaye Notre-Dame, dite le Petit-Clairvaux
- Abbaye Saint-Arnoul
- Abbaye Saint-Clément
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Abbaye Saint-Pierre-aux-Nonnains
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Abbaye Saint-Vincent
- Abbaye Sainte-Glossinde
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Abbaye Sainte-Marie-aux-Nonnains
Chapelles
- Chapelle des Baudoche
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Chapelle des Lorrains, Notre-Dame-de-la-Victoire
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Chapelle des Templiers
- Chapelle Saint-Blaise
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Chapelle Saint-Nicolas (ou Sainte-Reinette)