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Huber, Anton, Eine altfranzösische Fassung der Johanneslegende
Huber, Anton, Eine altfranzösische Fassung der Johanneslegende, Halle, 1919.
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Hugo de Arpaione (1...-13..)
Hugo de Arpaione est un chanoine rattaché au chapitre de la Cathédrale de Metz. Il a habité la maison n°37 dit de Saint-Pierremont avant 1329. Proche du Pape, il devient doyen de la cathédrale jusqu'en 1329, devenant un nonce pontifical à Rome grâce à une bulle de Jean XXII.
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Hugo Mathié (14..-1485)
Hugo Mathié est originaire de Tintigny, près de Virton, dans l'actuel Luxembourg belge. Il est licencié en droit canon. Curé de Villette, dans le diocèse de Trèves en 1445, il est chapelain de la cathédrale de Toul et de la collégiale Saint-Gengoult en 1448, puis curé de Marville en 1455-1458, et également chanoine de la cathédrale de Toul et archidiacre en 1456. Il devient chanoine de la cathédrale de Metz en 1458. Il occupe la charge de chantre à partir de 1462, puis reçoit celle de doyen du chapitre, du 24 août 1470 jusqu'à sa mort le 18 septembre 1485. Hugo est l'oncle de Jean Mathié, qui fait sa carrière ecclésiastique comme chanoine de Verdun où il meurt très âgé en 1532. La maison d'Hugo Mathié est située en face du couvent Saint-Symphorien. Il est enterré dans la cathédrale, dans la chapelle Saint-Nicolas.
Au moins seize livres sont légués au chapitre sous le nom d'Hugo Mathié, sans qu'on puisse toujours savoir quel Hugo les a légués. Enfin, un manuscrit de théologie daté de 1484 et aujourd'hui disparu porte le nom d'Hugo Mathié « de Halenzeyo » : on ne sait à qui le rattacher.
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Hugo Mathié (14..-1536) Hugo Mathié était le neveu de deux chanoines, son homonyme Hugo Mathié, mort en 1485, et Jean Chardalle, mort en 1502. Il est aussi l'oncle du chanoine Jean Mathié, qui lui succède comme chantre en 1536.
Il devient chanoine de la cathédrale de Metz et occupe la fonction de chantre. Il meurt le 11 janvier 1536.
Un vitrail est réalisé par Valentin Bousch après sa mort et placé dans le choeur de la cathédrale, avec son portrait et ses armoiries. Au moins seize livres sont légués au chapitre sous le nom d'Hugo Mathié, sans qu'on puisse toujours savoir quel Hugo les a légués.
On trouve des armoiries très proches sur le vitrail de la cathédrale et sur les fermoirs de la bible d'Hugo Mathié, d'azur à la bande d'argent avec une étoile d'or en chef, mais celles de la bible portent trois merlettes de sable sur la sable, alors que le vitrail ne les montre pas.
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Hugo Nicolay (1481-1552)
Hugo Nicolay est un chanoine messin, qui était prêtre, comme l'atteste le calice retrouvé dans sa tombe. Il est admis au chapitre de la cathédrale le 12 janvier 1536 : le roi Ferdinand de Habsbourg qui use en sa faveur du droit de Joyeux avènement. En 1542, il proteste avec douze clercs contre l'arrivée des protestants, prônant le catholicisme comme religion unique. En 1544, il est nommé official, le juge du diocèse. Son éducation « exceptionnelle », selon Roch-Stéphane Bour, lui permet de rédiger la liste des bénéfices du diocèse de Metz (en 1544) et de participer à la publication de plusieurs livres liturgiques, sous la supervision du cardinal Jean de Lorraine. Il écrit le « Manuale curatorum », un rituel imprimé à Metz en 1543 qui contient des règles destinées aux curés de paroisse, par exemple sur la conclusion des mariages ou la lèpre, puis un Missel en 1545, enfin un Bréviaire, « Breviarium ad usum Metensis ecclesiae » en 1546, qu'il corrigea. Il est nommé coûtre en 1550. Il meurt en 1552.
Son inventaire après-décès est conservé ; ses exécuteurs testamentaires étaient les chanoines Jean Brossard et Dominique Noël. Il lègue au chapitre un calice et une patène, qui sont inventoriés en 1567.
Sa soeur Marguerite Savaire était prieure au monastère du Petit-Clairvaux. Hugo fait un don de 300 francs au couvent et fait construire le tabernacle sur le grand autel.
La d'Hugo Nicolay tombe a été trouvée dans la cathédrale en 1911.
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Hugo Perrini (14..-1500)
Hugo Perrini est un chanoine du chapitre de la cathédrale qui réside au sein de la maison canoniale dite de l'Aumônerie, de 1490 à 1500.
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Huguenin, Alexandre, « Notice historique sur l’église Sainte-Ségolène de Metz »
Huguenin, Alexandre, « Notice historique sur l’église Sainte-Ségolène de Metz », Mémoires de la Société d’archéologie et d’histoire de la Moselle, 1859, p. 1-64.
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Hugues des Hazards (1454-1517)
Hugues des Hazards est un clerc natif de Toul, fidèle serviteur du duc René II de Lorraine. Il débute sa carrière à Rome après des études à Sienne et devient docteur dans les deux droits (canonique et romain). Il devient chanoine de la cathédrale de Metz et reçoit la dignité de doyen du chapitre en 1494, après avoir été prévôt de la collégiale de Saint-Georges de Nancy. René II le nomme président de la chambre des comptes de Lorraine en 1498. Sommet de sa carrière ecclésiastique, il est élu évêque de Toul en 1506, et se voit octroyer l'abbatiat de Saint-Mansuy de Toul par le pape Jules II. Il renonce à son décanat messin en 1514.
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Hugues Lambelet de Neufchâteau (13..-1417)
Hugues Lambelet (appelé en latin Lambeleti) est originaire de Neufchâteau, dans le diocèse de Toul. Il est un chanoine du chapitre de la Cathédrale de Metz. En 1408, il habite la maison canoniale n°29. En 1411, il occupe la dignité de cerchier. Il meurt en 1417.
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Huguignon le boucher (1...-1347)
Huguignon est un membre de la corporation des bouchers de Metz. On ignore tout de sa vie. En 1347, il s'oppose au gouvernement des paraiges et est banni de la ville. Finalement, la milice urbaine prend d'assaut la Vieille boucherie où ses partisans se sont retranchés. Avec un de ses trois frères, il est capturé et rapidement exécuté ; ses deux autres frères sont bannis.
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Humbert de Serrières (1502-15..)
Né en 1502, Humbert de Serrières est le fils de Conrad de Serrières et de Claude Baudoche. En 1525, sous le coup de la colère, il tue un jeune boucher et est condamné par la justice des Treize à faire ses excuses, à payer une amende à la famille du défunt et à effectuer un pèlerinage à Rome et à Saint-Jacques de Compostelle pour faire pénitence. L'épisode lui vaut-il d'avoir une mauvaise réputation ? Il semble mourir encore célibataire après 1548.
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Humbert de Warise (14..-1466)
Humbert de Warise est le fils de Jacomin de Warise et de Catherine de Raigecourt. Orphelin de son père depuis 1452, il meurt de peste le 24 juillet 1466, durant la terrible épidémie qui ravage la cité. Sa mère Catherine et sa soeur Jennette y succombent aussi.
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Idette Bouchatte (13..-1424)
Idette Bouchatte est la fille de Wiriat Bouchatte et de Marguerite Burchon. Seule enfant du couple, elle hérite d'un riche patrimoine familial, qui provient largement de sa mère Marguerite, seule héritière des Burchon dont la lignée s'éteint. Elle épouse Werry de Toul, qu'elle laisse veuf à son décès en 1424.
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Idette Chaving (13..-13..)
Idette Chaving est la fille de Philippe Tignienne dit Chaving et de Catherine Le Gronnais. Elle épouse Guillaume Chaverson avec qui elle a deux enfants qui nous soient connus : Jean et Joffroy. Elle meurt à une date inconnue dans la deuxième moitié du XIVe siècle et son corps est enseveli au couvent des Frères prêcheurs.
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Il y a un fantôme dans la porte des Allemands !
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Ilona Hans-Collas (1965-)
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Ingrand Burchon (13..-13..) L'ascendance d'Ingrand Burchon n'est pas connue. Il épouse Poince, fille de Collard Le Gronnais et d'une certaine Idette. Elle laisse veuf à son décès en 1340 avec de nombreux enfants. Il meurt à son tour à une date inconnue entre 1340 et 1355.
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Inscription des Célestins Cette plaque est un panneau indicateur : la main sculptée introduit l'inscription qui indique la direction de l'église Notre-Dame du couvent des Célestins : "L'esglixe Nostre Dame a Celaistien". La main est appelée "manicule" quand elle est dessinée sur un manuscrit pour souligner un passage important. Dans ce contexte urbain, la plaque permettait de trouver une église toute neuve accessible par une ruelle car enclavée entre les maisons du côté sud de la place du Champ-à-Seille.
L'inscription a été découverte lors de la démolition du couvent en 1864.
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Inscription du moulin de la Porte-aux-Chevaux En 1547, la cité reconstruit les moulins de la Porte-aux-Chevaux, à l'emplacement de l'actuel pont de la Préfecture. Une inscription commémorative y est installée ; du plomb est coulé dans les lettres gravées pour la rendre plus lisible. Composée en vers de dix syllabes (décasyllabes), elle conserve les noms des trois patriciens qui ont supervisé les travaux, et celui du constructeur.
Traduction :
« Au mois de juin de l'an mille cinq cent
quarante-sept, par avis et bon sens
d'un chevalier et de deux écuyers,
Ces beaux moulins très bons et singuliers
Pour la cité, furent tous terminés.
Le chevalier fut Michel Le Gronnais,
Androuin Roucel l'un des écuyers
L'autre Robert de Heu. Et l'ouvrier
Qui les finit cette année et saison
Était nommé maître Jean de Mousson. »
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Inscription du pont des Grilles En 1745, lors de la démolition du vieux Pont des Grilles, on découvre une stèle commémorant sa construction en 1360. Comme sur d'autres stèles de fondation messines, le texte indique l'année, mais aussi le temps qu'il a fait et le prix des denrées, ici très élevé car ce fut une année difficile. Mais l'inscription est remarquable car elle y ajoute un dessin d'un pain à l'échelle, désigné par une manicule (dessin de main) : plusieurs érudits en prennent alors copie. Dans le ms. BM Metz 1399 (qui est donné en 1745 par le président Corberon au conseiller Descartes), le relevé précise que sur la stèle, le pain fait 13 pouces de diamètres et 3 d'épaisseur (soit avec un pouce de 2,5 cm environ, 32,5 cm de diamètre et 7,5 cm d'épaisseur).
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Inventaire après décès de Jean Chardalle
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Inventaire de la pharmacie de l'Hôpital St. Nicolas de Metz, 27 juin 1509
Inventaire de la pharmacie de l'Hôpital St. Nicolas de Metz, 27 juin 1509, éd. docteur Paul Dorvaux, Paris, 1894.
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Inventaire des bijoux de Jennette Chevallat
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Isabelle Bataille (14..-1504)
Isabelle Bataille est l'une des trois filles de Jean Bataille dit le Jeune et de Jacomette Chaverson, sa deuxième épouse. Elle se marie avec Renaud Le Gronnais dit le Jeune en 1480 ou avant. Les deux époux meurent au cours de l'année 1504.
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Isabelle Baudoche (14..-14..)
Isabelle Baudoche est la fille de Arnould Baudoche et de Isabelle Le Gronnais. Elle épouse en premières noces Guercire Boulay avec qui elle a une fille, nommée Marguerite. Après le décès de Guercire entre 1423 et 1425, elle épouse en secondes noces Jean de Warise. Veuve une nouvelle fois en 1466, son foyer étant touché par la peste qui ravage la ville, elle meurt après 1477.