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La mort de la Vierge (XIVe siècle) La Vierge Marie est sur son lit de mort. Selon la tradition, elle s'endort pour être ensuite élevée au ciel lors de l'Assomption. Elle porte une coiffe et sourit. Elle repose sous un drap, la tête sur un oreiller à pompons. La sculpture, en assez faible relief, traite la scène de façon frontale, sans perspective. Sous le sommier subsistent des niches gothiques. La statue a pu être produite pour un portail ou un jubé ; elle a ensuite été remployée pour un monument funéraire. Selon Dieudonné, elle se trouvait sur la tombe de Perrette Brady, enterrée en 1409 aux Récollets (ms. de 1770 détruit en 1944).
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Mémoire de la famille Papperel (XVIe siècle) L'inscription faisant mémoire des défunts de la famille Papperel était placée à droite dans le choeur de l'église Saint-Livier. Jean Papperel fait placer ce texte pour faire mémoire de son père, de son grand-père et de son frère, puis il est complété à sa mort en 1502. Lors de la démolition de l'église, quelques fragments de l'inscription ont été récupérés par le musée, que l'on peut identifier grâce au relevé de l'inscription, fait au XVIIIe siècle.
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Mémoire de la famille Renguillon (XVIe siècle)
Cette inscription a été placée dans la chapelle des Le Gronnais, dans le collatéral nord de l'église Saint-Martin, par Jean Papperel et sa femme Alixette Renguillon. Jean a placé une inscription en mémoire de ses ancêtres à Saint-Livier, et le couple fait de même en mémoire des ancêtres d'Alixette à Saint-Martin.
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Monument de Jennette de Heu (XIVe et XVe siècles) Dans l'église Saint-Martin-en-Curtis, ce monument semble composé de plusieurs parties, d'au moins deux époques différentes. En haut, trois peintures de la vie de la Vierge ont été très restaurées.
En bas, le mur est sculptée d'une série de dix arcatures aveugles, sous lesquelles court une inscription incomplète, qui cite le nom de Jennette de Heu, femme de Jean Baudoche ; les armes des Heu et des Baudoche sont placées dans les écoinçons entre les arcatures. Ce monument de Jennette de Heu, morte avant 1373, date de la seconde moitié du XIVe siècle.
À gauche et à droite des arcatures, deux belles sculptures datent du XVe siècle. A gauche, un trompe-l'œil évoque un rideau fermé. A droite, un même rideau s'ouvre sur une niche qui représente la crèche : un groupe en haut relief polychromé est composé de Marie tenant l'enfant sur la mangeoire, entourés par des brebis. Sous la tenture fermée, une inscription gravée et rehaussée de noir sur fond rouge cite la mémoire de X, femme de Poince Le Gronnais, qui serait morte le jour de l'Ascension, 2 mai 1435, ainsi que ses enfants. Ce couple n'a pas été identifié et l'Ascension ne tombe pas un 2 mai cette année-là. Il est possible que le tombeau de Jennette de Heu ait été réaménagé pour une autre patricienne au siècle suivant.
Le monument, muré en 1726, a été redécouvert et dégagé en 1850 puis repeint abusivement. Il a été classé monument historique en 1973.
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Monument funéraire de François Le Gronnais (†1525)
Selon les notes de Henri-Marie Dupré de Geneste, l'imposant mausolée de François Le Gronnais se trouvait dans la chappelle Saint-Éloi et Saint-Georges en l'église paroissiale Saint-Maximin. Il se présentait comme un coffre carré couvent d'une grosse lame de cuivre au bout des deux extrémités s'élevaient deux colonnes doriques. Il était surmonté d'un entablement, d'une frise, d'une grosse corniche et d'un couronnement, avec une arcade cintrée de 6 pieds de haut et de 7 à 8 pieds de large. Il s'y trouvait également une statue grandeur réelle en pierre blanche de François en chevalier, avec épée au fourreau, cote de maille, brassards, cuissards, cuirasse et manteau de chevalier aux armes des Gronnais, couché sur le dos sur une table de marbre noir, un coussin sous la tête. Au centre de l'arcade étaient représentés 8 écus armoriés qui surplombaient l'épitaphe : Ogéviller, Chevilly, Dieu-Ami, Drouin, Gronnais, Abocourt, Daniel et Mortel. Sur des corniches près du mausolée, 28 statuettes représentaient ses 28 enfants, chaque prénom écrit en lettre d'or sur leur base. En tout, 51 statuettes auraient été posées sur les corniches, sans que l'on sache, selon les observation de Dupré de Geneste, lesquelles auraient été attribuées aux enfants et aux épouses de François Le Gronnais.
Traduction de l'épitaphe : « Ici devant git messire François Le Gronnais, chevalier et échevin du palais, fils de feu messire Renaud Le Gronnais chevalier et de dame Perrette Dieu-Ami, en son vivant conseiller et chambellan de l'empereur Charles Quint, lequel, entre autres vertus dont il a été richement doué, est décédé père de vingt-huit enfants procréés des feues dames Perrette Louve, Françoise Le Gronnais et Barbe Desch, ses feues femmes et épouses, ainsi que clairement est donné à voir par les mémorables sculptures posées en cette chapelle. Ledit seigneur François Le Gronnais, délaissant par mort naturelle sa quatrième femme et épouse dame Barteline de Boulan, rendit l'âme à Dieu le premier jour de janvier en l'an 1525 entre les humains. Il vécut très humainement l'espace de 74 ans. Priez Dieu pour lui afin qu'il vive éternellement. »
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Monument funéraire de Jean Desch (†1439) et Catherine Dieu-Ami (†1439) En 1793, le monument a été détruit, à l'exception de la sculpture en faible relief en haut : Sainte Véronique tient son voile où s'imprime la Sainte Face du Christ. Sous le voile est disposé un parchemin sculpté, l'épitaphe des deux jeunes époux. Cette sculpture a été cachée à la Révolution et replacée par la suite.
Le monument comptait quatre statues de Jean Desch et Catherine Dieu-Ami : en haut, ils étaient représentés en priant, à genoux devant la Sainte-Face. Sous l'arcade, ils étaient couchés, en gisant (dom. Sébastien Dieudonné).
Une statue de la Vierge de pitié, tenant Jésus mort dans ses bras, occupe aujourd'hui l'arcade : elle a été placée là au XIXe siècle et proviendrait d'une maison voisine de l'église.
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Plaque de fondation de la chapelle Saint-Georges et Saint-Éloi (XIVe siècle)
En l'église Saint-Maximin se trouve encore de nos jours la plaque de fondation de la chapelle Saint-Georges et Saint-Éloi, par Poincignon Dieu-Ami et Alixette sa femme, datée du 27 juillet 1365. La chapelle devient par la suite la chapelle des Gronnais et lieu important d'inhumation du lignage.
Selon les anciennes observations, les lettres saillantes auraient été colorées de jaune et de rouge sur fond noir. La plaque, composée de trois dalles en pierre de Jaumont, se situait dans le mur entre l'autel et l'entrée de la chapelle.
En voici la traduction : « Poincignon Dieu-Ami l'aman et Alixette, sa femme, ont fait faire cette chapelle et fondé au nom de monseigneur saint Georges et de monseigneur saint Éloi et fut dédiée le dimanche après la Madeleine par M CCC et LXV ans (27 juillet 1365). Et ils y ont ordonné III chapelains perpétuels pour toujours et doivent chacun desdits chapelains pour chaque semaine chanter en ladite chapelle IIII messes. Priez Dieu qu'il ait merci de leurs âmes. Amen ».
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Stèle commémorative de Thomas Richart (†1472) Cette stèle commémore la fondation d'une chapelle par Thomas Richart. Ce clerc savant, docteur en droit canonique, avait fait carrière à Rome à la chancellerie apostolique. C'est là qu'il meurt en 1472, chargeant son neveu, lui aussi appelé Thomas Richart, de fonder cette chapelle dans le collatéral gauche de l'église Saint-Étienne. Thomas a été représenté à l'extrémité de la stèle. Tête nue, il porte un surplis de chanoine et il est à genoux sur un coussin, mains jointes en prière. À sa droite en bas, un écu devait porter ses armes peintes ; à droite en haut un phylactère devait été inscrit, peut-être d'une prière.
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Stèle de Bertrand le Lombard (†1375) et Jean Maingol (†1375) Cette stèle funéraire a été retrouvé en mai 1866 lors de travaux à l'hôpital Saint-Nicolas, en démolissant une ancienne adduction d'eau. L'historien Charles Abel en a fait un relevé, que complète Pierre-Édouard Wagner.
Cette stèle évoque deux défunts : Bertrand le Lombard, riche orphelin, est peut-être le fils d'un changeur italien. À la mort de son père, il a été placé sous la tutelle d'un convers de l'hôpital, Jean Maingol. Ce laïc s'était consacré au service des pauvres de l'hôpital. Bertrand a donné des biens en aumône pour l'hôpital pour la somme considérable de 1000 livres messines. L'un et l'autre décèdent en 1375, Bertrand le 18 avril, Jean le 10 juin.
Traduction : « Ci-gît Bertrand le Lombard, fils de Colignon Lienart de Chambre, décédé. Frère Jean Maingol, convers de l'hôpital, fut le tuteur de Bertrand. En aumône à l'hôpital, Bertrand donna plusieurs biens à la hauteur d'environ 1000 livres de Metz, pour entretenir les pauvres malades. + Bertrand mourut le mercredi saint avant Pâques en 1375. Frère Jean Maingol mourut peu après, le jour de la Pentecôte. Priez Dieu qu'il ait pitié d'eux, amen. »
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Stèle de Jean le Sarte (†1510)
Dans l'église de Lessy, une stèle funéraire est fixée à un pilier du chœur : elle garde la mémoire de Jean le Sarte, maire et échevin du village, bien connu par ailleurs pour être le beau-père de Philippe de Vigneulles. La date du 16 août 1510 est confirmée par les Mémoires de Philippe de Vigneulles, L'inscription a été éditée par Charles Abel en 1859 de façon assez approximative.
Traduction : « Devant, sous cette pierre, est enterré l'honorable Jean le Sarte, autrefois maire et échevin de Lessy, qui a donné plusieurs aumônes à cette église. Il mourut le 16 août 1510. Priez pour lui. »
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Stèle funéraire de Perrette Roucel (†1508) La stèle funéraire de Perrette Roucel se trouvait au couvent des Célestins, où elle a été inhumée le 18 juillet 1508. Elle se trouve aujourd'hui au Musée de la Cour d'Or.
Traduction : « Ci-devant sous la première tombe aux armes des Gronnais et des Roucel gît demoiselle Perrette Roucel, fille des feux nobles époux, sire Perrin Roucel et dame Françoise Coeur de Fer, seigneur de Talange, jadis femme de l'honoré seigneur écuyer Thiébaut Le Gronnais près de laquelle reposent aussi François et Anne leurs deux enfants. Elle décéda le 18 juillet 1508. Notre seigneur leur donne sa grâce. Amen ».
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Tombe d'Étienne Jovin (†1473)
La tombe du chanoine Étienne Jovin, mort en août 1473, a été découverte dans la cathédrale de Metz en 1911. Le chanoine a été identifié grâce à sa croix d'identité. Celle-ci est en plomb, de forme grecque, initialement de 32,5 cm sur 31,5 cm. Elle est aujourd’hui fragmentée et partiellement détruite, avec cinq morceaux plus grands conservés. L’inscription gothique majuscule gravée sur la croix, abîmée, comporte quatre lignes décorées par des rosaces en forme de croix aux extrémités et séparant les mots.
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Tombe d'Henri de Hombourg (†1352) Henri de Hombourg est un chanoine messin mort en 1352. Sa tombe a été retrouvée lors des fouilles de la cathédrale en 1914, au niveau de la tour du chapitre. On a retrouvé à l'intérieur une croix en plomb qui a permis son identification. La croix, de 18 cm de hauteur et 18 de large, était en bon état malgré quelques dommages sur le côté gauche.
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Tombe d'Hugo Nicolay (†1552)
La tombe d'Hugo Nicolay, chanoine messin, a été retrouvée dans la cathédrale Sainte-Étienne, à hauteur de la tour du chapitre. Un calice et une croix d'identité y sont trouvés lors des fouilles en 1911. La croix mesurait 22,5 cm de haut et 13 à 16,5 cm de large, la partie droite de cette dernière est endommagée et fortement corrodée.
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Tombe d'Otto de Diemeringen (†1398) Le chanoine Otto de Diemeringen meurt en 1398 et est enterré au milieu de la nef de Notre-Dame-la-Ronde, église collégiale qui venait d'être intégrée dans les murs de la cathédrale.
En 1914, lors des travaux d'installation du chauffage dans la cathédrale, sa tombe a été retrouvée et fouillée. Selon la tradition, il a été enterré avec une croix d'identité, gravée à son nom, mais pas de calice, apanage du prêtre. Ce chanoine devait être resté simple diacre. On a en revanche retrouvé les chaussures du défunt, bien conservées.
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Tombe de Bertrand Noiron (†1400)
La tombe de Bertrand Noiron, chanoine de la cathédrale de Metz, est retrouvée en 1914. Elle était située dans l'ancienne collégiale Notre-Dame-la-Ronde, à 0,85 m sous le niveau du sol entre le pilier gauche et les marches du chœur. Elle contenait un cercueil carré fermé par de simples plaques. Une croix de plomb grecque, corrodée et cassée, portait une inscription gothique en majuscules sur huit lignes, avec des rosettes à cinq pétales comme séparateurs. Aucun objet sacerdotal n’a été retrouvé dans la tombe, ce qui indique que Bertrand n'avait reçu que les ordres mineurs.
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Tombe de Dominique de Nouriac (†1434)
Dominique de Nouriac a été enterré dans la cahtédrale à hauteur de la tour du chapitre. Dans sa tombe découverte lors des fouilles de 1911, on a trouvé sa croix d'identité en plomb. Elle mesurait environ 24 cm de haut et 22 cm de large, avec des parties manquantes, notamment l’extrémité inférieure du mât et presque tout le bras droit. La croix présentait en relief cinq rosaces en forme de feuilles lunaires, utilisées comme séparateurs de mots dans une inscription difficilement lisible. Cette inscription indique une date de décès située vers le milieu du XVe siècle, vraisemblablement en 1434, à partir de la mention partielle « MCCCC ET » suivie de chiffres romains. La croix ne mentionne pas explicitement la dignité de doyen de Verdun, ce qui est cohérent avec la brièveté habituelle des inscriptions sur les croix en plomb de cette époque.
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Tombe de Dominique Noël (†1574) Le chanoine Dominique Noël meurt le 2 février 1574. Sa tombe a été retrouvée dans la cathédrale de Metz lors des fouilles de 1911. Sa tombe n’est décrite ni par Émile Bégin ni par Sébastien Dieudonné ; son sarcophage en pierre était simplement couvert de planches. On y a trouvé un calice en étain partiellement conservé, qui atteste du statut de prêtre du défunt, et une croix d'identité en plomb, dont l’inscription est endommagée.
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Tombe de François Brossardi (†1564)
Le chanoine François Brossardi meurt le 13 décembre 1564 et est inhumé dans la nef latérale gauche de la cathédrale. Sa tombe a été découverte lors des fouilles de 1911. Sa croix d'identité en plomb, entourée d’un trait gravé, présente une ébréchure à l’avers et est surmontée d’une croix composée de segments circulaires dans deux cercles concentriques, similaire à celle de Bertrandi. L’inscription est en majuscules de style Renaissance.
Le sarcophage a accueilli la dépouille d’un parent de la personne inhumée.
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Tombe de Gérard de Luxembourg (†1305) La tombe de Gérard de Luxembourg, chanoine et diacre du chapitre cathédral, a été retrouvé au sein de la Cathédrale de Metz en 1914, avec une croix d'identité de plomb portant une inscription contradictoire. Le prénom a été partiellement effacé, cependant on suppose qu'il s'agissait de sa tombe car il n'existe que quatre chanoines messins originaires du Luxembourg. Il s'agit probablement de Gérard qui, dans un document ultérieur datant d'environ 1400, est mentionné comme le fondateur d'une chapellerie à l'autel des saints Michel et Barbe de la cathédrale de Metz, avec le chanoine Philippe de Luxembourg.
La croix de plomb, une fine plaque de plomb de 15,5 cm de large et 16,5 cm de haut. Les points noirs indiquent les zones manquantes (ou recouvertes). Elle était notamment perforée de bas à gauche à haut à droite. L’inscription de sept lignes en majuscule gothique primitif est gravée entre deux lignes incisées.
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Tombe de Gérard de Mirabel (†1344) La tombe de Gérard de Mirabel a été trouvée lors des fouilles de la cathédrale en 1914. Dans cette tombe, il n'y a été trouvé qu'une croix d'identité. Cette croix de plomb mesure 23 cm de large pour 23 cm de haut. Elle n'est pas entière et présente plusieurs fissures à différents endroits. Elle a une inscription en lettres gothiques: « Ci gist Girais de Mirabel, chanones de Mes qui mourut l'an M CCC et XLIIII le jour de feste Saint Siste ou mois d'awast » (Ci-gît Gérard de Mirabel, chanoine de Metz, qui mourut l'an 1344 le jour de la fête de saint Sixte au mois d'août).
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Tombe de Herpe de Rode (†1402)
Herpe de Rode, chanoine de la cathédrale de Metz de 1381 à 1402, a été enterré dans la cathédrale. Sa tombe a été fouillée à une date inconnue : Bégin mentionne la croix d'identité qui aurait alors été découverte, mais ne cite pas ses sources.
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Tombe de Jacques Le Gronnais (†1349) Le chanoine Jacques Le Gronnais meurt le 8 novembre 1349 et est inhumée dans la collégiale Notre-Dame-la-Ronde, où sa tombe est découverte lors des fouilles de 1911. Sa croix d'identité était fragmentaire mais le texte, rédigé en français, a permis de l'identifier : "... mourut le sire Jacques Le Gronnais, fils du seigneur Nicolle, qui mourut trois jours avant la Saint-Martin" (traduction en français moderne).
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Tombe de Jean d'Herbévillers (†1364)
La tombe de Jean d'Herbévillers se situe dans la cathédrale. Elle est trouvée lors des fouilles de 1914 et répertoriée par René-Stéphane Bour. Les archéologues y ont trouvé une croix d'identité en plomb, de 21,5 cm de haut et 18,5 cm de large, de forme latine, fortement corrodée et endommagée. On peut y lire l'inscription suivante : « Ci gist Jehan de Herbevilleirs chanone de ceans et aicollite qui mourut lou se ??? jor de » (Ci-gît Jean de Herbévillers, chanoine de séant et acolyte qui mourut le.. jour de). Clerc n'ayant reçu que les ordres mineurs, Jean a été inhumé sans calice ni patène, attributs du prêtre.
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Tombe de Jean d'Onville (†1410) La tombe de Jean d'Onville est trouvée lors de travaux dans la cathédrale de Metz en 1914, au niveau de la tour du chapitre. Sa croix d'identité, de 19 cm de large et 19,5 cm de haut, était de forme grecque et légèrement abîmée. On peut y lire l'inscription suivante : « L'année 1410, 18 juillet laissez tresp(a)ssait maitres Jo(hannes) et Onville canon de ceans, diacre » (L'an 1410 le 18e jour de juillet meurt maître Jean d'Onville, chanoine et diacre).