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Sauerland, Heinrich Volbert, Vatikanische Urkunden und Regesten zur Geschichte Lothringens
Sauerland, Heinrich Volbert, Vatikanische Urkunden und Regesten zur Geschichte Lothringens, Metz, G. Scriba, 1901-1905
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Save, Gaston, « Le tombeau de Garin le Lorrain »
Save, Gaston, « Le tombeau de Garin le Lorrain », Journal de la Société d'archéologie et du Comité du musée lorrain, 1896, p. 75-81.
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Sceau de Gaspard II de Heu (1575) Le sceau de Gaspard de Heu porte l'écu familial (à la bande chargée de 3 coquilles. Le timbre n'est pas visible, mais seulement une partie des lambrequins.
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Sceau de Jean Faquelo (†1452) Le frère franciscain Jean Fauquelo est nommé évêque suffragant de Metz, auxiliaire de l'évêque en titre, et reçoit le titre honorifique d'évêque de Coria. Son sceau témoigne de son parcours : il a la forme d'un sceau de clerc, en navette, dans son berceau de cire blanche. Dans une niche gothique, saint François, fondateur de son ordre, est représenté agenouillé recevant les stigmates. Sur le registre inférieur on voit l'évêque agenouillé et un écu. La légende porte : « FR. IOHANES FAKELO: DEI: GRA EPS: CAURIEN", soit "Sceau du frère Jean Faquelo, par la grâce de Dieu, évêque de Coria ».
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Sceau de Nicolle III de Heu (1504) Le sceau armorié de Nicole de Heu porte l'écu des Heu (à la bande chargée de trois coquilles). L'écu est penché, empiétant sur la légende, timbré d'un heaume de profil à cimier (un anneau) et à lambrequin.
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Sceau de Nicolle III de Heu (1524) En 1524, le sceau de Nicolle de Heu possède une empreinte à deux faces. Le contre-sceau, de l'autre côté du sceau, est armorié (aux armes des Heu : à la bande chargée de 3 coquilles), sans timbre, et l'écu est surmonté dans le champ de 3 initiales : « N D H » (Nicolle de Heu).
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Sceau de Robert de Heu (1535) Le sceau armorié de Robert de Heu, seigneur de Montoy, porte l'écu des Heu (à la bande chargée de trois coquilles). L'écu empiète sur la légende ; il est timbré d'un heaume de face à cimier (anneau) et à lambrequins.
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Sceau du paraige d'Outre-Seille Le paraige se dote d'un sceau au XIIIe siècle. Il s'agit d'un sceau scutiforme (en forme d'écu, triangulaire) de 67 mm de haut par 54 mm de large. Cette empreinte est simple et fragmentaire. Aucun filet ne la sépare la légende du champ, qui porte un écu aux armes du paraige : les chevrons, bleus sur fond d'or, ici au nombre de quatre. De la légende, on ne lit plus que les lettres "SI..M ... BO.." Auguste Prost rapporte la légende du sceau : + SIGILLVM . DE . MALEBOCHES (sceau des Malebouche). Les Malebouche étaient l'une des familles associées au paraige d'Outre-Seille au XIIIe siècle, mais qui disparaît vers le tournant du XIVe siècle.
Plusieurs familles reprennent l'emblème des chevrons sur leurs propres armes pour signaler leur appartenance sociale aux paraiges, tels quels comme les Noiron, ou bien en les associant à d'autres meubles héraldiques, comme les Baudoche ou les Dieu-Ami.
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Sceau du paraige de Jurue Le paraige de Jurue se dote d'un sceau au XIIIe siècle. Il s'agit d'un sceau scutiforme (triangulaire) de 58 mm de haut par 47 mm de large. Il porte l'emblème de l'aigle, dite "écourtée" car ses pattes ne sont pas représentées. Au revers est présente une second empreinte, appelée contre-sceau. Ce contre-sceau porte l'effigie d'un homme barbu avec un chapeau pointu. Il s'agit de l'effigie d'un Juif, suivant l'étymologie de la Jurue, rue des Juifs. Le « chapeau juif » a été imposé aux Juifs par le concile de Latran en 1214 comme signe de discrimination. Dans le Saint-Empire, ce chapeau, ou « Judenhut », devient au cours du XIIIe siècle un signe identitaire pour les communautés juives ashkénazes. À Metz, les sources se font muettes sur la présence de Juifs au début de ce siècle. Auguste Prost rappelle que la légende du sceau se lisait ainsi : + SIG . DOV . PARAIE . DE . GEVRVE
Certains familles des paraiges reprennent l'emblème de l'aigle de Jurue sur leurs propres armes, c'est le cas des Chaverson ou des Brady.
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Sceau du paraige de Porsaillis Le paraige de Porsaillis se dote d'un sceau au XIIIe siècle. Il s'agit d'un sceau rond de 59 mm. Dans le champ, il porte l'emblème de la tour noire sur fond d'or. La tour comprend une porte cintrée et deux fenêtres en forme de quadrilobes. La légende en latin se lit « S[igillum] parentele de Porta Salie », c'est-à-dire « sceau du paraige de Porte salée ».
De l'emblème de la tour découlent les armes de plusieurs familles de paraiges, seule (les Raigecourt, les Faulquenel, les Hungre) ou associée à d'autres éléments des armes des paraiges (les Gronnais, les de Vy, les Baudoche).
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Sceau du paraige de Porte-Moselle Le paraige de Porte-Moselle se dote d'un sceau au XIIIe siècle. Il s'agit d'un sceau rond de 78 mm, figurant un écu burelé de huit pièces (une succession de bandes horizontales). La légende de cet exemplaire n'est que partiellement lisible, mais Auguste Prost rapporte qu'elle se lisait ainsi : + S . DE . PORTE . MVZELLE.
Un délicat filet perlé la sépare du champ, qui porte un écu aux armes du paraige : un burelé d'or et d'azur, c'est-à-dire des bandes horizontales jaunes et bleues, au nombre de huit. Plusieurs hommes de paraiges, pour signaler leur appartenance à leur paraige, reprennent le burelé sur leurs propres armes, par exemple les Desch, les Chaverson, les Dieu-Ami, les Grognat.
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Sceau du paraige de Saint-Martin Le paraige de Saint-Martin se dote d'un sceau au XIIIe siècle. Ce sceau rond est simple et fragmentaire : la légende n'est plus lisible. Elle est connue par d'autres empreintes : "+ Sigillum illorum de Sancto Martino", soit "Sceau de ceux de Saint-Martin". Aucun filet ne sépare la légende du champ, qui porte un écu aux armes du paraige : les trois besants d'or sur fond rouge. Les besants sont des représentations de pièces d'or et tirent leur nom de Byzance. Ici, ces pièces sont frappées d'une croix.
Plusieurs familles reprennent l'emblème du besant sur leurs propres armes, par exemple les Roucel et les Louve.
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Schäfer, Hanna, « Le manuscrit autographe de Jean Aubrion, une source essentielle de la Chronique »
Schäfer, Hanna, « Le manuscris autographe de Jean Aubrion, une source essentielle de la Chronique », dans Léonard Dauphant, Metz 1500. Pouvoir et culture urbaine au temps de Philippe de Vigneulles, Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, 2023, p. 185-198.
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Schäfer, Hanna, Jean Aubrion l'escripvain
Schäfer, Hanna, Jean Aubrion l'escripvain. Lebensweg, historiografisches Schaffen und posthume Rezeption eines Metzer Bürgers im Spätmittelalter, Trèves, Verlag für Geschichte und Kultur, 2023.
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Schmitz, Wilhelm, « Aufdeckungen von Bruchstücken alter Epitaphien und Grabplatten bei Arbeiten im Innern des Doms »
Schmitz, Wilhelm, « Aufdeckungen von Bruchstücken alter Epitaphien und Grabplatten bei Arbeiten im Innern des Doms. Mit 5 Abbildungen. Von Dombaumeister W. Schmitz, Regierungs- und Baurat, Metz », Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie lorraine, 1915-1916, p. 488-511.
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Schmitz, Wilhelm, Der mittelalterliche Profanbau in Lothringen
Schmitz, Wilhelm, Der mittelalterliche Profanbau in Lothringen : Zusammenstellung der noch vorhandenen Bauwerke aus der Zeit vom XII. bis zum XVI. Jahrhundert, Düsseldorf, 1899.
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Schneider, Hélène, « Les ecclésiastiques et les offices de la principauté lorraine sous le duc René II »
Schneider, Hélène, « Les ecclésiastiques et les offices de la principauté lorraine sous le duc René II », dans Thierry Pécout (dir.), Les officiers et la chose publique dans les territoires angevins (XIIe-XVe siècle) : vers une culture politique ?, Rome, Publications de l'École française de Rome, 2020, p. 205-224.
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Schneider, Jean, « André de Rineck, citain de Metz (1444-1527) »
Schneider, Jean, « André de Rineck, citain de Metz (1444-1527). Notes à propos de recherches récentes », Cahiers lorrains, 1991, n°1, p. 3-14.
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Schneider, Jean, « Dans la société messine au XVe siècle : Dame Colette Baudoche (vers 1380/5-1441) »
Schneider, Jean, « Dans la société messine au XVe siècle : Dame Colette Baudoche (vers 1380/5-1441) », Lotharingia, n°7, 1997, p. 67-77.
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Schneider, Jean, « Du Commerce à l'Aristocratie terrienne, Thiébaut de Heu, citain de Metz (vers 1265-1330) »
Schneider, Jean, « Du Commerce à l'Aristocratie terrienne, Thiébaut de Heu, citain de Metz (vers 1265-1330) », Mémoires de l’Académie nationale de Metz, 135/136 (1954/55), p. 13-80.
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Schneider, Jean, « Témoin d'une société en mutation. François Le Gronnais »
Schneider, Jean, « Témoin d'une société en mutation. François Le Gronnais, citain de Metz (1450-1525) », Mémoires de l'Académie nationale de Metz (1999), p. 185-205.
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Schneider, Jean, « Un gentilhomme de ville : sire Nicole Louve, citain de Metz (1387-1462) »
Schneider, Jean, « Un gentilhomme de ville : sire Nicole Louve, citain de Metz (1387-1462) », dans La Noblesse au Moyen Âge XIe - XVe siècles, Essais à la mémoire de Robert Boutruche, dir. P. Contamine, Paris, PUF, 1976, p. 175-199.
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Schneider, Jean, La ville de Metz aux XIIIe et XIVe siècles
Schneider, Jean, La ville de Metz aux XIIIe et XIVe siècles, Nancy, Librairie Thomas, 1950.
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Schwarzfuchs, Simon et Fray, Jean-Luc, Présence juive en Alsace et en Lorraine médiévale
Schwarzfuchs, Simon et Fray, Jean-Luc, Présence juive en Alsace et en Lorraine médiévale, Dictionnaire de géographie historique, Paris, Cerf, 2015.
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Sébastian Brant, La Nef des fous (Colmar, BM, inc., I 515 AB 1) Paris