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Boèce, Consolation de la philosophie (Montpellier, BU, ms. H 43) Metz (Moselle)
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Blennemann, Gordon, « Le nécrologe du livre du chapitre de l'abbaye Saint-Pierre-aux-Nonnains de Metz (BNF, Lat. 10028). Commentaire et édition »
Blennemann, Gordon, « Le nécrologe du livre du chapitre de l'abbaye Saint-Pierre-aux-Nonnains de Metz (BNF, Lat. 10028). Commentaire et édition », Positions des thèses de l'Ecole nationale des chartes, 2006
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Blanchard, Jean-Christophe, L'armorial d'André de Rineck
Blanchard, Jean-Christophe, L'armorial d'André de Rineck (Vienne, Österreichische Nationalbibliothek, Cod. 3336), Paris, 2008.
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Blanchard, Jean-Christophe, « Les manipulations généalogiques de Nicolas IV de Heu »
Blanchard, Jean-Christophe, « Les manipulations généalogiques de Nicolas IV de Heu (1494-1547), hérédité réelle et fantasmée : un “eugénisme” à rebours ? », 2020, hal-03336043.
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Blanchard, Jean-Christophe, « Le patriciat messin et l'histoire »
Blanchard, Jean-Christophe, « Le patriciat messin et l'histoire », dans Mireille Chazan et Gérard Nauroy (dir.), Écrire l'histoire à Metz au Moyen Âge, Berne, Peter Lang, 2011, p. 313-335.
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Blanchard, Jean-Christophe, « Du nouveau dans les bibliothèques de deux messins pro-bourguignons, André de Rineck et de Nicolas IV de Heu »
Blanchard, Jean-Christophe, « Du nouveau dans les bibliothèques de deux messins pro-bourguignons, André de Rineck et de Nicolas IV de Heu », hal-04145706, 2022.
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Blanchard, Jean-Christophe, « Lʼarmorial dʼAndré de Rineck : une propagande dévoyée »
Blanchard, Jean-Christophe, « Lʼarmorial dʼAndré de Rineck : une propagande dévoyée », Le pouvoir de l’image. Actes du 132e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, « Images et imagerie », Arles, 2007, Paris, Éditions du CTHS, 2012, p. 225-233.
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Blanchard, Jean-Christophe (1971-)
Jean-Christophe Blanchard est un historien médiéviste français.
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Bille d'Abocourt (....-1439)
L'origine de Bille d'Abocourt n'est pas connue précisément, probablement issue d'un lignage noble lorrain. Elle se marie en premières noces avec Aubert Boulay du paraige Saint-Martin qui meurt dans l'épidémie de 1438-1439.
Peu de temps après, elle convole en deuxième noces avec Joffroy Desch, dont elle est la troisième épouse. Le mariage est célébré le 11 février 1439. Quelques mois plus tard, elle succombe à l'épidémie de peste qui faisait rage à Metz et meurt le 13 octobre 1439. Sa sépulture se trouve au couvent des Célestins.
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Biblia sacra (Metz, BM, ms. 03)
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Bible avec un calendrier et une généalogie du Christ (Paris, BNF, LAT 10431) Peint à Oxford?
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Bertrand Sollatte (13..-14..)
Bertrand Sollatte est le fils de Simonat Sollatte et d'une certaine Perrette. Il épouse Catherine, fille de François Bertrand et de Collette Porrée, et veuve de Jean de Chambre. En 1389, par son mariage avec Catherine, il est mentionné comme un des héritiers messins ayant des droits sur les forges de Briey, aux côtés de Bertrand de Chambre, frère du premier époux de Catherine. Sans descendance connue, Bertrand Sollatte meurt à une date inconnue après 1404.
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Bertrand Noiron (13..-1400)
Bertrand Noiron est issu d’une famille liée aux paraiges et influente parmi les membres du clergé messin. Chanoine de la cathédrale de Metz, il est un clerc actif à la fin du XIVe siècle. Dès 1378, le pape Clément VII ordonne qu’il reçoive un canonicat et une prébende à Cambrai, malgré son absence de diplôme en droit canon. Il obtient ensuite des bénéfices à Metz, notamment la chapelle Saint-Laurent en 1384 et la prévôté de la collégiale Saint-Thiébaut, confirmée par le pape. Bertrand reçoit les ordres mineurs ; il est sous-diacre en 1386, mais ne fut jamais ordonné prêtre, ce que confirme l’absence d’objets sacerdotaux associés à sa sépulture. Il devient prévôt de la collégiale de Saint-Sauveur en 1398, fonction qu’il occupe jusqu’à sa mort en 1400. Après sa mort, la prévôté de Saint-Sauveur est contestée, puis attribuée à Nicolas de Spincourt en 1403.
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Bertrand Le Hungre (13..-1397) Bertrand Le Hungre est un riche homme de paraiges qui détenait un immense patrimoine foncier dans le Pays de Metz. Il fonde le couvent des Célestins où sa famille et ses alliés sont inhumés. Très pieux, il est décrit comme un chrétien exemplaire par la Chronique des Célestins. « Honorable, sage et discrète personne », il fait chaque hiver entretenir des feux dans les rues de Metz pour que les pauvres puissent se chauffer, où cuisent des marmites de soupe pour les nourrir.
Il épouse Isabelle Boyleau qui meurt durant l'épidémie de peste de 1348. Selon la Chronique des Célestins, il aurait eu avec Isabelle 14 enfants, 6 garçons et 8 filles, dont seuls 5 nous sont connus. Il habite l'ancien hôtel Falcol, qui correspond peut-être à la Grande maison, aujourd'hui hôtel de Gournay sur la rue du Grand Cerf.
En 1366, il échappe à un enlèvement de la part du banni Guillaume Poujoise et fonde une chapelle qui devient au bout de quelques années le couvent des Célestins. Il consacre sa vieillesse à cette fondation. Bertrand meurt après 49 ans de veuvage le 25 décembre 1397. Son corps est inhumé au couvent des Célestins.
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Bertrand Le Bel dit Mallequin (13...-13..)
Bertrand Le Bel dit Mallequin est le fils de Mathieu Le Bel dit du Quartal et d'une mère inconnue. La famille Le Bel est une famille d'Ancy-sur-Moselle qui apparaît à Metz avec son père Mathieu. Elle doit être distinguée de la branche homonyme de la famille de Heu. L'épouse de Bertrand est inconnue, mais il a trois enfants qui nous soient connus : Thiriat, Jean et Nicolle. Bertrand meurt à une date inconnue avant 1355.
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Bertrand de Tournay (13..-1425).
Bertrand de Tournay est le fils d'Hennequin de Tournay et de Catherine Gourdat, l'un des enfants d'une nombreuse fratrie. Comme son frère Jean (13..-1410), il poursuit une carrière ecclésiastique et devient prêtre de la paroisse Saint-Victor, puis chanoine de la cathédrale de Metz vers 1398. Il est nommé écôlatre et réside à la maison canoniale de la rue des Prêcheurs à côté du jardin (n°4) avant de résider avec son frère dans la Maison canoniale de la Haute-Pierre (n°3) en 1408. Il meurt en 1425.
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Bertrand de Chambre (13..-13..)
Bertrand de Chambre est l'un des deux fils de Simonat de Chambre et de Marion Xullefert. Mentionné au paraige de Saint-Martin dans la branche des Gaillard en 1388, nous ne connaissons rien sur sa vie. Il est mentionné en 1389 comme l'un des héritiers des Messins ayant des droits sur les forges de Briey que le comte de Bar s'efforce de racheter. Il meurt à une date inconnue, possiblement sans postérité.
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Bertrand de Chambre (12..-1318)
Bertrand de Chambre est le fils de Simon de Chambre et d'une mère inconnue. On ne connait pas le nom de son épouse, mais deux de ses enfants nous sont connus : Simonat et Contesse. Bertrand meurt le 29 janvier 1318 et son corps est enseveli avec celui de son grand-père, de son père et de son oncle paternel à l'église Saint-Victor-en-Chambre.
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Bertram Pagessius (13..-1387) Bertram est un frère dominicain du couvent de Coblence, dans l'électorat de Trêves. En 1356, l'évêque de Worms Thierry Bayer le choisit comme suffragant, avec le titre d'évêque de Tiflis. Quand Thierry Bayer est transféré sur le siège de Metz en 1365, il emmène Bertram, qui devient suffragant de Metz. En 1378 éclate le Grand schisme entre les papes de Rome et d'Avignon. Thierry Bayer se rallie à Avignon ; Bertram reste partisan de Rome et doit quitter Metz en 1379 ; il y revient, puis en part définitivement en 1380. Il s'installe dans l'évêque de Trêves, et devient suffragant de l'archevêque. Il meurt le 21 janvier 1387 et est inhumé au convent des Dominicains de Coblence.
Bertram était considéré à son époque comme un grand savant. Wolfram l'identifie comme l'auteur de la chronique latine des évêques de Metz, qui contient les vies des évêques jusqu'en 1376. Il aurait composé son texte du vivant de Thierry Bayer (mort en 1384). Dans le manuscrit BM Metz 796 qu'il a pu compiler, un poème latin en l'honneur de la Vierge Marie contient un acrostiche à son nom (p. 119-120) : les premières lettres forment les mots "Bertram évêque de Tiflis m'a fait".
Bertram avait élu sépulture au couvent des Dominicains de Metz : une note du XVe siècle du ms. BM Metz 796 en garde la mémoire erronée, en affirmant qu'il y est enterré après sa mort survenue en 1377.
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Bernard de Norroy (14..-15..) Bernard de Norroy est l'un des fils d'Antoine de Norroy et de Claude de Serrières. Il épouse Perrette Baudoche le 20 novembre 1516, dont il est le second époux. Le divorce de Perrette et d'Androuin Roucel avait fait scandale. Il meurt en 1518 ou 1520, peut-être au cours d'un tournoi à Metz.
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Bernard de la Tour d'Auvergne (1...-1361)
Bernard de la Tour d'Auvergne est issu d'une haute famille dauphinoise. Celle-ci doit être distinguée de la famille la Tour liée aux paraiges. Il a été chanoine de la cathédrale de Metz et détient la charge d'archidiacre en 1327. Il n'avait alors pas de maison canoniale car il poursuivait ses études. Plus tard, il devient chanoine à Lyon, puis cardinal-diacre de Saint-Eustache, le 20 septembre 1342. Il meurt de la peste le 7 août 1361 à Avignon.
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Berardo Caracciolo, Lettres (Bordeaux, BM, ms. 761)
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Benoit, Louis, « Tombeau de René de Beauvau et de Claude de Baudoche au Musée lorrain »
Benoit, Louis, « Tombeau de René de Beauvau et de Claude de Baudoche au Musée lorrain », Journal de la Société d’archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, Nancy, Lepage, mars 1867, p. 39-47.
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Bellard, André, « Adieu au Petit-Clairvaux »
Bellard, André, « Adieu au Petit-Clairvaux », Mémoires de l’Académie nationale de Metz vol. 135/136 (1954/55) p. 137-144.
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Bégin, Émile, Metz depuis dix-huit siècles : son peuple, ses institutions, ses rues, ses monuments, récits chevaleresques, religieux et populaires
Bégin, Émile, Metz depuis dix-huit siècles : son peuple, ses institutions, ses rues, ses monuments, récits chevaleresques, religieux et populaires, Paris, 3 volumes, 1843-1845.