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Marguerite Le Gronnais (14..-15..)
Marguerite Le Gronnais est la fille de François Le Gronnais avec sa deuxième épouse, Françoise Le Gronnais. Elle épouse en premières noces Joffroy de Raigecourt le 22 novembre 1512. Le mariage est de courte durée, Joffroy meurt dès 1517. Sans doute encore sans descendance, elle convole en secondes noces avec Louis de la Grandfaux. Elle meurt après un long veuvage après 1571, âgée de plus de 75 ans.
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Marguerite Le Gronnais dit Volgenel (13..-14..)
Marguerite Le Gronnais dit Volgenel est la fille de Maheu Le Gronnais dit Volgenel et de Seliziette Renguillon. Elle épouse Henri, fils de Simonin Roucel. Par son mariage avec lui, l'hôtel de Philippe Le Gronnais en face de Saint-Martin passe aux Roucel. Veuve avant 1383, elle meurt après 1404.
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Marguerite Le Hungre (....-1438)
Marguerite Le Hungre est la fille de Jean Le Hungre et de Perrette Dieu-Ami. Elle se marie en premières noces avec Nicolle Drouin avant 1414, à une date qui nous est inconnue. Après le décès de Nicolle, elle convole en deuxièmes noces avec Joffroy Desch, vers 1426, dont elle est la deuxième épouse. Elle décède le 29 novembre 1438, laissant Joffroy une nouvelle fois veuf. Sa sépulture se trouve au couvent des Célestins.
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Marguerite Louve (13..-14..)
Marguerite Louve est la fille de Poince Louve et de Perrette Baudoche. Elle est la première et seule épouse connue de Renaud de Warise, qu'elle épouse à une date inconnue avant 1422. Elle meurt avant 1427.
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Marguerite Louve (1453-1466)
Marguerite Louve est la fille de Thiébaut Louve et de Marguerite de Heu.
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Marguerite Noiron (13..-1435)
Marguerite Noiron est la fille d'Arnould Noiron et de Jacomette de Vy. Elle épouse Nicolle, fils de Jean Baudoche et de Jennette de Heu en premières noces. Nicolle meurt entre 1378 et 1384, alors que le couple n'a toujours pas d'enfants. Marguerite se remarie avec Collin, fils de Burtignon Paillat. Elle meurt veuve le 27 novembre 1435, sans descendance. Son corps est enseveli au couvent des Célestins.
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Marguerite Roucel (15..-15..)
Marguerite est l'une des deux filles de Livier Roucel et de Gertrude de Bemelbourg. Elle épouse en premières noces Jean de Barron, seigneur d'Autricourt et en secondes noces un certain de Barjon. Elle hérite d'Androuin Roucel, après un conflit de succession, d'une partie de la maison-forte d'Aubigny avec sa soeur Anne. Elle meurt à une date inconnue après 1577.
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Marie Baudoche (13..-1380)
Marie Baudoche est la fille de Baudoin Baudoche dit Brûlé et d'Isabelle de Sainte-Marie. Elle épouse en premières noces Nicolle Drouin avec qui elle a trois enfants. Après sa mort en 1366, elle se remarie avec Jean Louve dit le Jeune, mais le mariage reste stérile. Marie meurt en 1380. Veuf, Jean se remarie avec Jennette Noiron.
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Marie Drouin (13..-14..)
Marie Drouin est la fille de Nicolle Drouin et de Catherine Daniel. Elle épouse Jean Dieu-Ami et meurt à une date inconnue après 1419.
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Mariette Dieudonné (14..-1466)
Mariette Dieudonné est l'une des trois filles de Pierre Dieudonné et d'une certaine Mariette. L'ensemble de la famille est décimée entre avril et juillet 1466 lors de l'épidémie de peste qui ravage la cité. Mariette meurt le 8 juillet, sans doute encore mineure et sans alliance. La lignée des Dieudonné s'éteint.
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Mariette Le Loups (14..-1493)
Mariette est la fille du maire d'Hagondange, alors au Luxembourg germanophone. Elle épouse Philippe de Vigneulles en mai 1493. Le jeune couple s'installe alors au Rimport, et Philippe tient boutique de draps et de chausserie. Mariette meurt jeune le 12 décembre 1493 et est inhumée dans l'église Saint-Ferroy.
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Mariette N. (14..-15..)
L'ascendance de Mariette est inconnue. En 1501, elle est l'épouse de Jacomin Daiton, un pelletier de Metz, alors qu'elle devient la marraine de Marguerite, fille de Philippe de Vigneulles et de Zabeline Le Sarte. Jacomin Daiton est mentionné en 1513 comme un homme assez âgé.
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Marion Xullefert (13..-13..)
L'ascendance de Marion Xullefert est inconnue. Elle est comme l'épouse de Simonat de Chambre en 1330 et 1344. Deux fils leur sont connus : Bertrand et Jean de Chambre. Elle meurt à une date inconnue.
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Martin d'Ingenheim (143.-1516)
Martin d'Ingenheim est clerc et secrétaire des Sept de la Guerre au service de la ville de 1471 jusqu'à son décès en 1516. Il est blessé à la tête par un carreau d'arbalète lors de l'attaque surprise de la ville en 1473. En 1480, il est marié avec Catherine, fille de Pierson, fabricant de galoches à semelles de bois. En 1512, alors sans doute octogénaire, il remplit encore ses fonctions de secrétaire et participe à une ambassade messine pour assister à la diète impériale à Trèves avec Gérard Tanard aussi clerc des Sept.
Avec lui apparaît une puissante « dynastie familiale » de clercs des Sept de la guerre qui se maintient jusqu'au basculement de souveraineté de 1552 : son neveu, appelé Martin le Jeune d'Ingenheim, occupe lui aussi le rôle de clerc des Sept à partir de 1505, puis le fils de ce dernier, François d'Ingenheim, licencié en droit de l'université d'Heidelberg, recruté vers 1548.
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Martin de Laître (13..-13..)
Martin de Laître est le fils de François de Laître et de Marguerite de Raigecourt. Nous connaissons très peu de chose sur sa vie, hormis qu'il fut un donateur à l'église Saint-Clément à Lorry-lès-Metz. Il meurt à une date inconnue après 1388 et son corps est inhumé dans l'église Saint-Clément. Dans l'état actuel de la recherche, nous ne lui connaissons aucune descendance.
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Martin Georges (14..-1452)
Martin Georges est le fils de Georges Augustaire dit Georges et d'Anel de Verdun. Il épouse en premières noces Isabelle, fille de Jean Louve et de Jennette Noiron. Après le décès de son épouse en 1404, il se remarie avec Jennette, fille de Nemmery Noiron dit Guedange et de Laure Aubrion. Le couple a un seul fils : Nemmery Georges qui meurt en 1420 à l'âge de 13 ou 14 ans. Veuf une nouvelle fois en 1411, il ne se remarie plus et meurt le 15 octobre 1452 sans descendance. Son corps est enseveli au couvent des Célestins.
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Martin Jean d'Ingenheim le Jeune (14..-153..)
L'ascendance de Martin d'Ingenheim le jeune n'est pas connue. Mais il est le neveu de son homonyme, Martin d'Ingenheim le vieux, tous deux occupent l'office de clerc des Sept de la guerre. entre 1522 et 1536, il agit aussi à titre de notaire public. Il épouse en premières noces une certaine Isabelle. Devenu veuf entre 1509 et 1514, il épouse Perrette Bay, sans doute déjà à un âge avancé. Il meurt vers 1538. Son fils François, après des études universitaires à Heidelberg en droit, devient comme son père clerc des Sept de la guerre.
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Martin Pinguet (14..1542) Martin Pinguet est un chanoine de la cathédrale de Metz, originaire de Touraine. Il habitait une maison rue des Clercs. Riche et très influent, il est pris pour cible lors des émeutes anticléricales de 1525 et sa maison est saccagée : en témoigne un capitulaire de 1526 où il demande au chapitre de reconstruire sa toiture.
Intermédiaire de la maison de Lorraine pour l'achèvement des travaux du nouveau chœur de la cathédrale, il est représenté sur une des verrières, en position de prieur, à côté de ses armes parlantes : d'azur au pingouin. Il est mort en 1542 et enterré dans la cathédrale de Metz. Sa tombe fut redécouverte en 1914 : on y découvrit un calice d'étain et d'argent et une patène.
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Mathieu Le Bel dit du Quartal (12…-1307)
L'ascendance de Mathieu Le Bel est inconnue. Gonzalve Thiriot affirme qu'il était le frère de Gilles le Bel, dit du Quartal, maître-échevin en 1326, mais il en est en fait le père. C'est une famille originaire d'Ancy récemment installée à Metz. Son épouse est inconnue, mais six enfants lui sont connus. Mathieu meurt le 8 novembre 1307 et son corps est enseveli au couvent des Frères prêcheurs.
L'épitaphe est tirée de l'ouvrage de Gonzalve Thiriot :
« CY GIST MAHEUS LE BEL QUI MORUT VIII JOR APRES LA TOT S.M.CCC.VII ».
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Matthias Henner (14..-1528) Matthias Henner est un clerc d'origine germanique ; il est chanoine de Metz de 1502 à 1528. Il contribue aux grands travaux de la cathédrale en participant à la construction du jubé. En 1524, il offre un vitrail qui est installé dans la chapelle Saint-Joseph, dans l'abside. Sur ce vitrail identifié par Guillaume Frantzwa à partir de ses armoiries, il est vêtu en chanoine mais se présente comme chevalier de l'ordre du Saint-Sépulcre de Jérusalem, alors même que cet ordre de moines soldats a été fusionné avec les chevaliers de Saint-Jean (futur ordre de Malte) en 1489.
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Matthieu Rembal (13..-14..)
Matthieu (ou Mattheus en latin) Rembal est un chanoine de la cathédrale de Metz. Avant 1408, il habite la maison canoniale n°16, place de Chambre. Il meurt à une date inconnue.
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Mazauric, Roger, « Le tragique destin d’un patricien messin : Gaspard de Heu, sr. de Buy »
Mazauric, Roger, « Le tragique destin d’un patricien messin : Gaspard de Heu, sr. de Buy », Mémoires de l’Académie nationale de Metz (1980), p. 118-142.
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Mémoire de la famille Papperel (XVIe siècle) L'inscription faisant mémoire des défunts de la famille Papperel était placée à droite dans le choeur de l'église Saint-Livier. Jean Papperel fait placer ce texte pour faire mémoire de son père, de son grand-père et de son frère, puis il est complété à sa mort en 1502. Lors de la démolition de l'église, quelques fragments de l'inscription ont été récupérés par le musée, que l'on peut identifier grâce au relevé de l'inscription, fait au XVIIIe siècle.
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Mémoire de la famille Renguillon (XVIe siècle)
Cette inscription a été placée dans la chapelle des Le Gronnais, dans le collatéral nord de l'église Saint-Martin, par Jean Papperel et sa femme Alixette Renguillon. Jean a placé une inscription en mémoire de ses ancêtres à Saint-Livier, et le couple fait de même en mémoire des ancêtres d'Alixette à Saint-Martin.
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Mémoires de Philippe de Vigneulles (édition Michelant, 1852)
Gedenkbuch des Metzer Bürgers Philippe von Vigneulles aus den Jahren 1471 bis 1522, édité par Henri Michelant, Stuttgart, 1852.