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Isabelle Boyleau (13..-1348)
Isabelle Boyleau est la fille de Jacomin Boyleau et de Mahaut Piedeschault. Elle épouse le riche Bertrand Le Hungre. À sa mort en 1348 de la peste, elle aurait avec Bertrand 14 enfants 6 garçons et 8 filles, dont seuls 5 nous sont connus. Bertrand entre dans un long veuvage de 49 ans jusqu'à sa mort en 1397. Isabelle est d'abord inhumé en l'église Notre-Dame-des-Champs, puis lors de la destruction de l'église en 1444, son corps est déplacé dans le couvent des Célestins.
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Isabelle Baudoche (14..-1493)
Isabelle Baudoche est la fille de Jean Baudoche et de Béatrice de Vy. Elle épouse en premières noces Wiriat de Toul avec qui elle a un seul enfant : Jennette de Toul. Veuve en 1457, elle convole en secondes noces avec Michel Cunehem, un noble qui vient s'installer à Metz avec qui elle a aussi une seule fille, Barbe. Isabelle meurt le 26 février 1493 et son corps est enseveli humblement au cimetière Saint-Louis, ce qui reste inhabituel pour les individus issus des paraiges.
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Isabelle Baudoche (14..-14..)
Isabelle Baudoche est la fille de Arnould Baudoche et de Isabelle Le Gronnais. Elle épouse en premières noces Guercire Boulay avec qui elle a une fille, nommée Marguerite. Après le décès de Guercire entre 1423 et 1425, elle épouse en secondes noces Jean de Warise. Veuve une nouvelle fois en 1466, son foyer étant touché par la peste qui ravage la ville, elle meurt après 1477.
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Isabelle Bataille (14..-1504)
Isabelle Bataille est l'une des trois filles de Jean Bataille dit le Jeune et de Jacomette Chaverson, sa deuxième épouse. Elle se marie avec Renaud Le Gronnais dit le Jeune en 1480 ou avant. Les deux époux meurent au cours de l'année 1504.
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Inventaire des bijoux de Jennette Chevallat
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Inventaire de la pharmacie de l'Hôpital St. Nicolas de Metz, 27 juin 1509
Inventaire de la pharmacie de l'Hôpital St. Nicolas de Metz, 27 juin 1509, éd. docteur Paul Dorvaux, Paris, 1894.
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Inventaire après décès de Jean Chardalle
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Inscription du moulin de la Porte-aux-Chevaux En 1547, la cité reconstruit les moulins de la Porte-aux-Chevaux, à l'emplacement de l'actuel pont de la Préfecture. Une inscription commémorative y est installée ; du plomb est coulé dans les lettres gravées pour la rendre plus lisible. Composée en vers de dix syllabes (décasyllabes), elle conserve les noms des trois patriciens qui ont supervisé les travaux, et celui du constructeur.
Traduction :
« Au mois de juin de l'an mille cinq cent
quarante-sept, par avis et bon sens
d'un chevalier et de deux écuyers,
Ces beaux moulins très bons et singuliers
Pour la cité, furent tous terminés.
Le chevalier fut Michel Le Gronnais,
Androuin Roucel l'un des écuyers
L'autre Robert de Heu. Et l'ouvrier
Qui les finit cette année et saison
Était nommé maître Jean de Mousson. »
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Inscription des Célestins Cette plaque est un panneau indicateur : la main sculptée introduit l'inscription qui indique la direction de l'église Notre-Dame du couvent des Célestins : "L'esglixe Nostre Dame a Celaistien". La main est appelée "manicule" quand elle est dessinée sur un manuscrit pour souligner un passage important. Dans ce contexte urbain, la plaque permettait de trouver une église toute neuve accessible par une ruelle car enclavée entre les maisons du côté sud de la place du Champ-à-Seille.
L'inscription a été découverte lors de la démolition du couvent en 1864.
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Ingrand Burchon (13..-13..) L'ascendance d'Ingrand Burchon n'est pas connue. Il épouse Poince, fille de Collard Le Gronnais et d'une certaine Idette. Elle laisse veuf à son décès en 1340 avec de nombreux enfants. Il meurt à son tour à une date inconnue entre 1340 et 1355.
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Ilona Hans-Collas (1965-)
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Il y a un fantôme dans la porte des Allemands !
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Idette Chaving (13..-13..)
Idette Chaving est la fille de Philippe Tignienne dit Chaving et de Catherine Le Gronnais. Elle épouse Guillaume Chaverson avec qui elle a deux enfants qui nous soient connus : Jean et Joffroy. Elle meurt à une date inconnue dans la deuxième moitié du XIVe siècle et son corps est enseveli au couvent des Frères prêcheurs.
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Idette Bouchatte (13..-1424)
Idette Bouchatte est la fille de Wiriat Bouchatte et de Marguerite Burchon. Seule enfant du couple, elle hérite d'un riche patrimoine familial, qui provient largement de sa mère Marguerite, seule héritière des Burchon dont la lignée s'éteint. Elle épouse Werry de Toul, qu'elle laisse veuf à son décès en 1424.
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Humbert de Warise (14..-1466)
Humbert de Warise est le fils de Jacomin de Warise et de Catherine de Raigecourt. Orphelin de son père depuis 1452, il meurt de peste le 24 juillet 1466, durant la terrible épidémie qui ravage la cité. Sa mère Catherine et sa soeur Jennette y succombent aussi.
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Humbert de Serrières (1502-15..)
Né en 1502, Humbert de Serrières est le fils de Conrad de Serrières et de Claude Baudoche. En 1525, sous le coup de la colère, il tue un jeune boucher et est condamné par la justice des Treize à faire ses excuses, à payer une amende à la famille du défunt et à effectuer un pèlerinage à Rome et à Saint-Jacques de Compostelle pour faire pénitence. L'épisode lui vaut-il d'avoir une mauvaise réputation ? Il semble mourir encore célibataire après 1548.
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Hugues Lambelet de Neufchâteau (13..-1417)
Hugues Lambelet (appelé en latin Lambeleti) est originaire de Neufchâteau, dans le diocèse de Toul. Il est un chanoine du chapitre de la Cathédrale de Metz. En 1408, il habite la maison canoniale n°29. En 1411, il occupe la dignité de cerchier. Il meurt en 1417.
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Hugues des Hazards (1454-1517)
Hugues des Hazards est un clerc natif de Toul, fidèle serviteur du duc René II de Lorraine. Il débute sa carrière à Rome après des études à Sienne et devient docteur dans les deux droits (canonique et romain). Il devient chanoine de la cathédrale de Metz et reçoit la dignité de doyen du chapitre en 1494, après avoir été prévôt de la collégiale de Saint-Georges de Nancy. René II le nomme président de la chambre des comptes de Lorraine en 1498. Sommet de sa carrière ecclésiastique, il est élu évêque de Toul en 1506, et se voit octroyer l'abbatiat de Saint-Mansuy de Toul par le pape Jules II. Il renonce à son décanat messin en 1514.
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Huguenin, Alexandre, « Notice historique sur l’église Sainte-Ségolène de Metz »
Huguenin, Alexandre, « Notice historique sur l’église Sainte-Ségolène de Metz », Mémoires de la Société d’archéologie et d’histoire de la Moselle, 1859, p. 1-64.
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Hugo Perrini (14..-1500)
Hugo Perrini est un chanoine du chapitre de la cathédrale qui réside au sein de la maison canoniale dite de l'Aumônerie, de 1490 à 1500.
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Hugo Nicolay (1481-1552)
Hugo Nicolay est un chanoine messin, qui était prêtre, comme l'atteste le calice retrouvé dans sa tombe. Il est admis au chapitre de la cathédrale le 12 janvier 1536, avec le soutien du roi Ferdinand de Habsbourg. En 1542, il proteste avec douze clercs contre l'arrivée des protestants, prônant le catholicisme comme religion unique. Vers 1544, il devient fonctionnaire, souvent mentionné de cette manière dans les registres. Son éducation « exceptionnelle », selon Roch-Stéphane Bour, lui permet de rédiger la liste des bénéfices du diocèse de Metz (en 1544) et de participer à la publication de plusieurs livres liturgiques, sous la supervision du cardinal Jean de Lorraine. Il écrit aussi le « Manuale curatorum », un rituel imprimé à Metz en 1543 qui contient des règles destinées aux curés de paroisse, par exemple sur la conclusion des mariages ou la lèpre. Puis il rédige le « Breviarium ad usum Metensis ecclesiae » en 1546, qu'il corrigea. Il a une soeur, Marguerite, prieure au monastère du Petit-Clairvaux.
Il meurt en 1552. Un inventaire après-décès a été réalisé, ses exécuteurs testamentaires étant Jean Brossard et Dominique Noël, deux chanoines du chapitre de la cathédrale. Sa tombe a été trouvée dans la cathédrale en 1914.
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Hugo Mathié (14..-1536)
Ce chanoine de la cathédrale de Metz occupait la fonction de chantre et meurt en 1536. Il était sans doute le parent de son homonyme Hugo Mathié, qui meurt en 1485, et de Jean Mathié, qui lui succède comme chantre en 1536. Il fait un legs pour un vitrail réalisé dans la cathédrale par Valentin Bousch en 1539. Au moins seize livres sont légués au chapitre sous le nom d'Hugo Mathié, sans qu'on puisse toujours savoir quel Hugo les a légués.
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Hugo Mathié (14..-1485)
Hugo Mathié est originaire de Tintigny, près de Virton, dans l'actuel Luxembourg belge. Il est licencié en droit canon. Curé de Villette, dans le diocèse de Trèves en 1445, il est chapelain de la cathédrale de Toul et de la collégiale Saint-Gengoult en 1448, puis curé de Marville en 1455-1458, et également chanoine de la cathédrale de Toul et archidiacre en 1456. Il devient chanoine de la cathédrale de Metz en 1458. Il occupe la charge de chantre à partir de 1462, puis reçoit celle de doyen du chapitre, du 24 août 1470 jusqu'à sa mort le 18 septembre 1485. Hugo est l'oncle de Jean Mathié, qui fait sa carrière ecclésiastique comme chanoine de Verdun où il meurt très âgé en 1532. La maison d'Hugo Mathié est située en face du couvent Saint-Symphorien. Il est enterré dans la cathédrale, dans la chapelle Saint-Nicolas.
Au moins seize livres sont légués au chapitre sous le nom d'Hugo Mathié, sans qu'on puisse toujours savoir quel Hugo les a légués. Enfin, un manuscrit de théologie daté de 1484 et aujourd'hui disparu porte le nom d'Hugo Mathié « de Halenzeyo » : on ne sait à qui le rattacher.
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Hugo de Arpaione (1...-13..)
Hugo de Arpaione est un chanoine rattaché au chapitre de la Cathédrale de Metz. Il a habité la maison n°37 dit de Saint-Pierremont avant 1329. Proche du Pape, il devient doyen de la cathédrale jusqu'en 1329, devenant un nonce pontifical à Rome grâce à une bulle de Jean XXII.
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Huber, Anton, Eine altfranzösische Fassung der Johanneslegende
Huber, Anton, Eine altfranzösische Fassung der Johanneslegende, Halle, 1919.