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Marguerite de Raigecourt (12..-1280)
Marguerite de Raigecourt est la fille de Philippe de Raigecourt et d'une mère inconnue. Elle épouse Jacomin Jallée dont l'ascendance est inconnue. Ensemble le couple a trois enfants qui nous soient connus : Thiébaut, Arnould et Isabelle. Marguerite meurt en 1280, laissant Jacomin veuf. Son corps est enseveli au couvent des Frères prêcheurs.
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Catherine Hunebourjat (13..-14..)
Catherine Hunebourjat est la fille de Jean Hunebourjat et d'une certaine Hawy. Elle épouse Jean, fils de Guillaume Chaverson et d'Idette Chaving. Ensemble, le couple a trois enfants qui nous soient connus : Guillaume, Jean et Idette. Catherine meurt veuve après 1427.
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Maheu Ruece (13..-1350)
Maheu Ruece est le fils de Gillat Ruece de Porte Serpenoise et de Lorette Baudoche, sa deuxième femme. Il épouse une certaine Jennette avec qui il a une fille unique : Lorette. Nous en savons peu sur la vie de Mathieu hormis qu'il est adoubé chevalier. Il meurt le 28 janvier 1350 et son corps est enseveli au couvent des Frères prêcheurs auprès de sa femme. Il n'est pas clair ici s'il s'agit de Jennette qui, veuve, se remarie avec Perrin Chaving, ou si Mathieu avait eu une première épouse qui nous est inconnue.
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Jean de Nouillonpont (1...-14..)
Plusieurs homonymes ont occupé des fonctions de plume à Metz au XVe siècle. Ce Jean de Nouillonpont est mentionné comme écrivain en 1438 et en 1457, 1459 et 1468, comme maire des Célestins.
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Cavalier et priant Ces deux sculptures formaient peut-être un groupe. Le cavalier est vêtu d'une cotte de maille qui lui couvre tout le corps et d'une tunique sans manches. Il porte un casque, l'écu sur la poitrine et devait tenir de la main droite une lance ou une oriflamme.
Le personnage à genoux est lui aussi vêtu comme un chevalier, il a l'épée à la ceinture mais ne porte pas de casque. Il est bien plus petit que le cavalier, ce qui permet de l'identifier comme un donateur en prière devant un saint, qui serait ici saint Georges. Dans ce cas-là, la lance disparue ne transperçait pas le dragon car elle devait pointer vers le haut : le cheval devait plutôt le piétiner.
Les deux pièces ont été collectées rue du Champé au XIXe siècle. Mais on peut les rapprocher, au moins par l'iconographie, de la description du tombeau de Maheu Ruece au couvent des Dominicains : un patricien se fait représenter sur son tombeau en chevalier, priant le saint patron de la confrérie des chevaliers du Christ.
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Gilles de Liège (13..-1381)
Gilles de Liège est un chanoine de la cathédrale de Metz. Peu de choses sont connues de lui, hormis qu'il a habité la maison n°40 dont la localisation reste inconnue. Il meurt en 1381.
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Jean de Eydel (13..-1391)
Originaire du diocèse de Trêves, Jean de Eydel a étudié la philosophie à l'université de Paris. Il est chanoine de la cathédrale de Metz entre 1371 et 1381 et reste diacre. Sa tombe est dans la cathédrale, avec sa croix d'identité, ce qui permet de l'identifier.
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Tombeau de Maheu Ruece (†1350) Maheu Ruece, aman de la paroisse Saint-Gengoulf décède le 28 janvier 1350 (n. s.) et est inhumé auprès de sa femme au couvent des Dominicains, « à l'arcade de communication au petit cloître ». Son tombeau, aujourd'hui détruit, est connu par une description de Sébastien Dieudonné faite en 1770 : « sous l'arcade où est l'épitaphe précitée, on voit saint Georges à cheval ayant sur son bouclier ces armoiries [dessin d'un écu à la croix blanche] et ledit Maheu est à genoux, emprès duquel ses armoiries sont dépeintes ainsi [écu aux 5 tours] ». On peut rapprocher la description du tombeau d'un groupe sculpté conservé au musée de la Cour d'Or, formé d'un grand cavalier et d'un petit chevalier à genoux.
Traduction de l'épitaphe : « Ci-gît le sire Maheu Ruece, chevalier et aman de Saint-Gengoulf, qui mourut le mercredi avant la Chandeleur l'an 1349. Priez pour lui ».
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Sauerland, Heinrich Volbert, Vatikanische Urkunden und Regesten zur Geschichte Lothringens
Sauerland, Heinrich Volbert, Vatikanische Urkunden und Regesten zur Geschichte Lothringens, Metz, G. Scriba, 1901-1905
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Jeanne de Louvain (15..-15..)
Jeanne de Louvain est la fille d'Antoine de Louvain, vicomte de Berzy-le-Sec, seigneur de Rognac et de Rongnart, et de Marguerite d'Andresle. Elle hérite de la seigneurie de Rognac à la mort de son père. À Lausanne, elle épouse en premières noces Gaspard de Heu, fils de Nicolle de Heu et de Marguerite de Brandebourg le 23 juin 1545. Après la mort de son époux en 1558, elle se remarie avec Gratian de la Salle dans les années 1560. Elle meurt à une date inconnue.
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Marguerite de Gorze (14..-15..)
Marguerite de Gorze est la fille de Jean de Gorze et de Marguerite d'Outre-Seille. Elle épouse Jacomin Travalt de la Hardie-Pierre, mais le mariage est infertile. Elle meurt sans descendance après 1517, probablement avant son époux qui meurt en 1552.
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Peintures murales du 12, rue des Clercs
Ces peintures ont été découvertes en mars 1968 au siège du "Républicain lorrain", en même temps qu'un plafond peint. La vaste pièce de 11x6 m. devait être une salle d'apparat. Deux fragments sont conservés au musée de la Cour d'Or : un oiseau et un cortège de guerriers. Ils appartenaient peut-être à un cycle des neufs Preux : on y reconnaît les armoiries du roi Arthur, aux trois couronnes.
On a également identifié les blasons des le Hungre et des Noiron. Nicolle Noiron dit Guedange et sa femme Isabelle Le Hungre sont peut-être les propriétaires de la maison vers 1370-1383. Mais ces armoiries peuvent aussi avoir été peintes par leur fils, le chanoine Simon Noiron, qui occupe la maison avant sa mort en 1435.
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Jacomin Travalt de la Hardie-Pierre (14..-1552)
Jacomin Travalt est le fils de Didier Travalt de la Hardie-Pierre et d'une mère inconnue. Il épouse Marguerite, fille de Jean de Gorze et de Marguerite d'Outre-Seille. Aucune descendance ne lui est connue. Il mène une longue carrière municipale particulièrement actif au sein du conseil des Treize jurés. Il meurt, sans doute veuf, le 12 juin 1552.
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1542 - Les Treize protestent contre les Protestants
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Le Voyage de Jean de Mandeville traduit par Otto de Diemeringen (Paris, BNF, Allemand 150) Vallée du Rhin?
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Meurisse, Martin, Histoire de la naissance, du progrès et de la décadence de l'hérésie dans la ville de Metz et dans le pays messin
Meurisse, Martin, Histoire de la naissance, du progrès et de la décadence de l'hérésie dans la ville de Metz et dans le pays messin, Metz, 1670
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Trimbur, Virginie, Liturgie et organisation de l’espace dans un groupe cathédral : le cérémonial de la cathédrale de Metz (XIIe-XIIIe siècles)
Trimbur, Virginie, Liturgie et organisation de l’espace dans un groupe
cathédral : le cérémonial de la cathédrale de Metz (XIIe-XIIIe siècles), thèse de doctorat, Université de Lille, 2018.
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Simonat Sollatte (13..-138.)
L'ascendance de Simonat Sollatte est inconnue. Ce marchand de Metz épouse une certaine Perrette avec qui il a quatre fils qui nous soient connus : Joffroy, Bertrand, Étienne et Jean. Il meurt à une date inconnue entre 1380 et 1383.
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Marguerite Noiron (13..-1435)
Marguerite Noiron est la fille d'Arnould Noiron et de Jacomette de Vy. Elle épouse Nicolle, fils de Jean Baudoche et de Jennette de Heu en premières noces. Nicolle meurt entre 1378 et 1384, alors que le couple n'a toujours pas d'enfants. Marguerite se remarie avec Collin, fils de Burtignon Paillat. Elle meurt veuve le 27 novembre 1435, sans descendance. Son corps est enseveli au couvent des Célestins.
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Isabelle Le Hungre (13..-1...)
Isabelle Le Hungre est la fille de Guillaume Le Hungre et de Jacques Baudoche. Elle épouse Collin, fils de Burtignon Paillat, dont elle est la première épouse. Elle meurt à une date inconnue entre 1379 et 1404, date à laquelle Collin est remarié. Le mariage semble être resté infertile.
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Burthe Paillat dit le Jeune (13..-14..)
Burthe Paillat dit le Jeune est le fils de Burtignon Paillat et d'une mère qui nous est inconnue. Son épouse nous est également inconnue, mais il a deux fils : Collin et Louis. Il meurt après 1409.
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Perrette Paillat (12..-13..)
Perrette Paillat est la fille de Pierre Paillat, seigneur de Pange et de Domangeville, et d'une mère inconnue. Elle épouse le noble Perrin de Neufchâtel dit de Warise qui s'installe à Metz. Le couple a trois enfants qui nous soient connus : Jean, Catherine et Renaud. Perrette meurt à une date inconnue au début du XIVe siècle.
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Poincerelle Le Gronnais (1...-1430)
Poincerelle Le Gronnais est la fille de Jean Le Gronnais et de Collette Baudoche. Elle épouse Collin Paillat avec qui elle a un enfant qui nous soit connu : Burtignon Paillat. Collin meurt en septembre 1429 et Poincerelle meurt à son tour sans doute encore jeune adulte le 4 septembre 1430. Son corps est enseveli au couvent des Célestins. Son fils meurt deux jours plus tard le 6 septembre 1430. C'est la fin du lignage des Paillat à Metz.
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Catherine Le Gronnais (12..-13..)
Catherine Le Gronnais est la fille de Joffroy Le Gronnais et d'une mère inconnue. Elle épouse Philippe, fils de Philippe Tignienne dit Chaving. Le couple a cinq enfants qui nous soient connus : Idette, Joffroy, Perrin, Marguerite et Augustin. Elle meurt à une date inconnue dans la première moitié du XIVe siècle. Son corps est enseveli au couvent des Frères prêcheurs, mais sa sépulture est sans date.
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Philippe Tignienne dit Chaving (12..-133.)
Philippe Tignienne dit Chaving (aussi désigné Philippin Tignienne ou Philippe Chaving) est le fils de Philippe Tignienne dit Chaving et d'une mère inconnue. Il se marie avec Catherine, fille de Joffroy Le Gronnais. Le couple a cinq enfants qui nous soient connus : Idette, Joffroy, Perrin, Marguerite et Augustin. Il meurt entre 1334 et 1335.