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Perrette Bay (15..-15..)
L'ascendance de Perrette Bay n'est pas connue. Peut-être est-elle la soeur de Mathieu Bay le marchand. Elle est la seconde épouse de Martin Jean d'Ingenheim le Jeune. Devenue veuve vers 1538, elle meurt sans doute âgée après 1558.
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Martin Jean d'Ingenheim le Jeune (14..-153..)
L'ascendance de Martin d'Ingenheim le jeune n'est pas connue. Mais il est le neveu de son homonyme, Martin d'Ingenheim le vieux, tous deux occupent l'office de clerc des Sept de la guerre. entre 1522 et 1536, il agit aussi à titre de notaire public. Il épouse en premières noces une certaine Isabelle. Devenu veuf entre 1509 et 1514, il épouse Perrette Bay, sans doute déjà à un âge avancé. Il meurt vers 1538. Son fils François, après des études universitaires à Heidelberg en droit, devient comme son père clerc des Sept de la guerre.
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Béatrice Gérardin (14..-1497)
Béatrice Gérardin, dont les liens de parenté sont mal connus, est sans doute la fille de Nicolle Gérardin du paraige de Jurue. Elle épouse Jean Blanchard, l'écrivain du palais. Deux enfants nous sont connus du couple : Baudat et Otton. C'est par ce mariage que Baudat, fils de Jean et de Béatrice, peut accéder aux paraiges. Otton, quant à lui, poursuite une carrière ecclésiastique. Béatrice meurt le 28 février 1497, laissant Jean veuf.
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Jean Blanchard (14..-14..)
L'ascendance de Jean Blanchard est inconnue. Il occupe la charge d'écrivain du palais. Il épouse Béatrice Gérardin, possiblement fille de Nicolle Gérardin du paraige de Jurue. Le couple a deux enfants qui nous soient connus : Baudat et Otton. Le premier poursuit une carrière municipale alors que le second poursuit une carrière ecclésiastique. Veuf en 1497, Jean meurt à une date inconnue.
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Perrette N. (14..-1512)
Perrette, dont l'ascendance est inconnue, épouse en premières noces Jean Aubrion l'écrivain. Après la mort de son époux en 1501, elle épouse Baudat Blanchard, veuf de sa première épouse. Perrette meurt laissant veuf Baudat pour une deuxième fois entre la fin avril et le début mai 1512.
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Jean Aubrion (13..-14..)
Jean Aubrion est coûtre et chanoine de la cathédrale de Metz. Il est lié à la famille Aubrion affiliée aux paraiges, mais son lien de parenté est difficile à établir. Il possédait une maison... Il meurt entre 1404 et 1412.
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Poincignon Le Braconnier (14..-15..)
L'ascendance de Poincignon Le Braconnier est inconnue. Il épouse une certaine Jacomette qui devient marraine d'une fille de Philippe de Vigneulles. Poincignon, marchand de Metz, occupe aussi la charge de clerc des « adjournés » entre 1483 et 1509, faisant de lui un membre clé du personnel officiel de la ville chargé de l'écrit, avec des gages annuels s'élevant à 60 sous. À Metz, les « adjournés » sont des procédures judiciaires expéditives réalisées devant un nombre restreint du conseil des Treize, parfois qu'un seul, et faisant intervenir qu'un petit nombre de plaideurs (six au maximum). Les « adjournés », qui concernaient les causes civiles de petite importance, se déroulaient au Palais des Treize en la « chambre des adjournés ». Poincignon meurt à une date inconnue entre 1509 et 1518.
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Enseigne de pèlerinage : sainte Barbe Cette toute petite pièce de métal est un souvenir de pèlerinage. Sainte barbe est reconnaissable aux attributs qu'elle porte : la tour où selon la légende son père l'a enfermée, et la palme, qui témoigne de son martyre. Sainte Barbe (ou Barbara) est une des saintes protectrices les plus populaires de la fin du Moyen Âge, devient la patronne du pays de Metz et le sanctuaire de Sainte-Barbe un pèlerinage populaire pour les citadins : située à 17 km de la ville, l'église pouvait faire l'objet d'un aller-et-retour dans la journée. L'enseigne a été trouvée lors des fouilles du Petit Saulcy, sous la place de la Comédie.
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Maison du chanoine de Metz, Hermann de Bure.
Cette maison canoniale fait partie des maisons du chapitre de Metz. Elle était l'une des maisons de chanoines les plus onéreuses en 1408 avec un valeur attenant les 70 livres. Elle se situe devant le puits dans la rue des Clercs, avec issue en Nexirue. L'hôtel est placé sur la rue et les côtés de la parcelle autour d'une cour-jardin.
Une conclusion capitulaire octroie cette propriété à Hermann de Münster, un maître local, qui rachète cette maison au chanoine Didier de Fraine le 15 mai 1388. La maison est possédée par le chanoine Hermann de Bure en 1408.
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Maison du chanoine Thierry de la Tour.
Cette maison canoniale appartenant au chapitre de Metz coûta 60 livres en 1408. Elle est située rue des Clercs à main senestre vers la porte Serpenoise, avec issue en Vieille-Boucherie. La structure de l'hôtel incorporant une cour auxiliaire se retrouve dans d'autres maisons restées dans un état à peu près médiéval comme la Princerie ou l'Aumonerie.
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Maison du chanoine Simon Noiron.
Cette maison fait partie de l'ensemble des maisons appartenant au chapitre de Metz. Elle est située en Nexirue, avec une issue en la rue des Prêcheurs. On pense qu'elle apparaît en 1281 dans les sources. En 1408, sa taxe lors de l'achat est de 50 l. Elle est composée comme : L'hôtel donnant sur la rue tandis que les côtés de la parcelle sont occupés par le jardin mais aussi par la cour.
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Maison du Chanoine Jean de Velone.
Cette maison fait partie des maisons du chapitre de Metz. Elle est située dans la rue de la Pierre-Hardie. Elle apparaît pour la première fois dans les sources en 1293. Lors de son achat, elle était taxée de 30l.
Elle est composée de cette façon: L'hôtel se situe entre la cour et le jardin.
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Maison du chanoine Jean Waltier.
Cette maison fait partie de l'ensemble des maisons du chapitre de Metz. Elle est située juste à côté de Bertrand de Tournai, en la rue du prêcheur.
Elle est composée comme ceci: un hôtel sur le côté rue tandis que sur les côtés se trouvent les parcelles qui font le jardin et la cour.
La maison est en forme de U. En raison d'un réalignement de la rue au début du XVIIIe, celle-ci perd son passage couvert au profit d'un simple mur écran.
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Maison du chanoine de Metz, Gérard de Mouzon.
Cette maison canoniale a coût d'achat de 30 livres en 1408. Elle se situe dans la rue des Clercs vers la porte Serpenoise à côté de la maison canoniale de Simon de Wazille. Sa structure est équivalent à celle de Simon de Wazille : non maitrise de l'hôtel entre la cour et le jardin. La maison est totalement détruite aujourd'hui, on a découvert des tessons du XIIIème et du XIVème siècle sous la cour pavée.
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Maison du chanoine de Metz, Simon de Waville.
Maison canoniale située dans la rue des Clercs à côte de la cour des Archidiacres donc le coût s'élève à hauteur de 25 livres en 1408. Comme la plupart des maisons canoniales, la structure non maîtrisé entre la cour et le jardin. La cour sert à l'hôpital des pauvres qui dépend de la chapelle Sainte-Reinette. De manière générale, ces cours secondaires sont rejetées sur un côté de la propriété, souvent de manière à ne pas être vie de la cour principale.
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Maison du chanoine Bertrand de Tournai.
On ne sait pas à quand remonte la première fois que cette maison canoniale, située en la rue des Prêcheurs, à côté du Jardin, est apparue dans les sources. Cependant, cette appartenait en 1408 à Bertrand de Tournai, qui à l'achat a du payer une taxe de 50 l. Elle est composée d'un hôtel sur le côté rue et les côtés de la parcelle autour d'une cour jardin.
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L'Aumônerie
L'Aumônerie fait partie de l'ensemble des maisons canoniales de Metz. Elle suit le schéma d'une maison composée d'un Hôtel donnant sur la rue tandis que les côtés de sa parcelle sont faits à la fois de sa cour mais aussi de son jardin. Elle est mentionnée pour la première fois dans nos sources en 1330. Elle ne fut pas soumise à une taxe lors de son achat. Lors du listage de 1408, Didier Bachegrain, un simple chanoine mort en 1409, d'une origine inconnue.
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Maison du chanoine de Metz Jean Grofnelz.
Cette maison canoniale coûte 20 livres en 1408. Elle se situe dans la rue des Clercs à côté de celle du chanoine Étienne Richart. Tout comme celle-ci, elle possède une parcelle étroite et une petite arrière-cour.
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La Princerie
La Princerie est une maison appartenant au chanoine Henri de Lenoncourt en 1408. C'est une maison qui se situe dans le cloître de la cathédrale, occupant tout l'angle Nord-est de ce dernier. L'utilisation du jardin du cloître lui est alors dévolue, ceci jusqu'en 1671. Elle est située aujourd'hui dans la rue de la Princerie. On suppose son existence à avant 1225, année où elle est pour la première fois nommée. La maison suit un modèle qui la compose: de l'hôtel entre la cour et le jardin. Elle possède un escalier à angle qui est le seul organe de liaison entre tous les niveaux . Du jardin aux combles du bâtiment principal.
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Maison du chanoine Saint-Amour de Neuve-Église.
Maison canoniale installée dans la rue des Clercs, son taux d'achat en 1408 s'élève à la hauteur de 30 livres. Elle possède un espace libre en fond de parcelle et fait partie de ces maisons régulières qui suit le schéma entre la cour et le jardin. Au sein du jardin, il semblerait voir apparaître les vestiges d'une ancienne tour, sans en connaître la fonction initiale. Elle est mentionnée dès 1330.
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Maison du chanoine de Metz, Étienne Richart.
Cette maison canoniale est détenue en 1408 par le chanoine Étienne Richart, elle à l'entrée de la rue des Clercs à l'angle de la rue derrière le Palais. Le montant de la taxe d'achat s'élève à la hauteur de 50 livres. La maison est structuré au sein d'un immeuble sur une parcelle étroite, avec une petite arrière-cour.
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Niche au chevalier Cette niche est sculptée en bas-relief : on y voit un chevalier tenant un bouclier, la lance en arrêt et les pieds tendus dans les étriers, comme s'il allait charger. L'homme porte un cimier de parade : il peut s'agir d'un tournoi plus que d'une bataille. La sculpture s'inscrit dans une niche gothique sommée d'un fleuron, qui est elle-même surmontée de trilobes et de quadrilobes.
Le bas-relief était installé sur une des maisons de la place de Chambre, aux n°6-8, où se trouvait au XIXe siècle l'Hôtel de Paris. Après son entrée dans les collections du musée, il a été dessiné par Lorrain (planche 16 du catalogue manuscrit).
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Maison du chanoine Jean Aubrion Cette maison canoniale messine se situe au sein de la Cathédrale Saint-Étienne derrière le cloître, entre le cloître et la rue du Vivier. Elle avait une taxe d'achat de 15 livres tournois en 1408. Elle est relativement modeste par rapport à d'autres maisons de chanoines de Metz.
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La Longecourt.
Maison du chanoine de Metz, Jean Aubrion en 1357. La maison occupe un angle de cloître avec une petite cour d'entrée rejétée sur le côté nord. De plus, elle est contenue au rez de chaussée sur une petite parcelle à l'angle nord du cloître, mais elle déborde assez largement au premier étage sur les galeries et les bâtiments communautaires.
La taxe d'achat en 1408 s'élève à la hauteur de 15 livres.
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Maison du chanoine de Metz, Dedier.
Maison canoniale en Chèvremont en face de la rue du Vivier dont la taxe à l'achat en 1408 est de 30 livres. Celle-ci est, dans l'ensemble, peu documentée par rapport aux autres maisons de chanoines de la Cité. Matériau utilisé inconnu avant la Révolution de 1789.