-
Miracle rue des Clercs! Saint Nicolas sauve un condamné à mort
-
Michel, Emmanuel, « Notice sur l'ancienne orfèvrerie messine »
Michel, Emmanuel, « Notice sur l'ancienne orfèvrerie messine », Mémoires de l’Académie de Metz, 1847-1848, p. 173-205
-
Michel Le Gronnais dit le Jeune (14..-1551)
Michel Le Gronnais, fils de François Le Gronnais et de sa seconde épouse Françoise Le Gronnais, épouse Philippe de Florainville, issue d'un lignage noble du Barrois, en 1515. Il a un fils bâtard, Joseph, qui devient chanoine de la cathédrale. Il est responsable de la construction de l'hôtel de Burtaigne en 1531. En 1533, il est conseiller et chambellan d'Antoine Ier, duc de Lorraine. Il meurt le 1er juin 1551.
-
Michel Le Gronnais (14..-1526) Michel Le Gronnais est le fils de Renaud Le Gronnais avec Barbe Cunehem. Il se marie le 3 février 1506 avec Marguerite de Norroy. Elle meurt le laissant veuf en 1517. Nous n'avons la trace que d'une seule fille, Claude (ou Claudine), qui survit après la mort de Michel le 14 octobre 1526. Il est d'abord inhumé en l'église de Saint-Martin-en-Curtis. Sa sépulture est déplacée en 1590 au couvent des Dames Prêcheresses à la requête de Philippe d'Orjault, sa petite-fille, religieuse dominicaine.
-
Michel Le Gronnais (14..-1501)
Michel Le Gronnais est le fils de Didier Le Gronnais et de Isabelle de Heu. Il apparaît d'abord sur la liste du paraige de Porsaillis, mais change pour le paraige de Jurue, dans lequel il mène l'ensemble de son active carrière municipale. Il épouse Jacomette Bataille à une date inconnue avant 1466. Il est fait chevalier à l'occasion du sacre du roi Louis XI à Reims en août 1461. En 1469, son élection comme Sept de la guerre entraîne une crise au sein du gouvernement municipal : une partie des Treize se met alors en grève pour protester, sans qu'on connaisse la raison du conflit. Veuf dès 1473, Michel ne se remarie pas et meurt en 1501.
-
Michel Le Boux (14..-1517)
Michel le Boux est un chanoine de la cathédrale de Metz. Il achète la maison canonicale n°3, appelée la Haute-Pierre en 1512. Il y meurt en 1517.
-
Michel Hérold (19..-)
Michel Hérold est un historien français et conservateur du patrimoine.
-
Michel Garin (14..-1512)
Michel Garin est originaire du diocèse de Toul et maître ès arts. Il est reçu chanoine de Metz en 1477. Il réside dans la maison canoniale n°14, située rue au Blé, entre 1477 et 1512. En 1507, il est mentionné comme maître de l'ouvrage de la cathédrale en pleine reconstruction. Il meurt le 17 mars 1512 et est inhumé dans la cathédrale.
Un chanoine nommé Michel est mentionné comme parrain de Jean, fils de Philippe de Vigneulles et de Zabeline Le Sarte en 1498 : il s'agit probablement de Michel Garin.
-
Michel de Barisey, Le livre des chansons (Cassel, UB, 4° Ms. theol. 82) Metz (Moselle)
-
Michel de Barisey (15..-1563)
Son père André de Barisey est le premier membre de ce lignage du Barrois à s'installer à Metz. Michel peut entrer dans un paraige, grâce au mariage de son père avec Contesse Desch. Michel, seigneur de Barisey, est le premier et seul époux connu de Aimée Le Gronnais, qu'il épouse en 1531. Il participe activement au gouvernement de la cité, particulièrement à titre de Sept commis de la guerre. La Chronique rimée fait sa louange pour avoir construit à es frais une maison pour les arquebusiers, troupes qui auparavant devaient loger chez l'habitant, en occasionnant des « esclandres ».
Il se tourne vers la Réforme vers 1543 et fait ensuite partie de la communauté protestante de la cité. Il compose alors un recueil de chants spirituels, que possède son fils en 1561. Il meurt en 1563.
-
Michel Cunehem (14..-14..)
Michel Cunehem, dont l'ascendance nous est inconnue, est un noble qui vient s'installer à Metz par son mariage avec Isabelle Baudoche, veuve de Wiriat de Toul. Il est reçu dans la bourgeoisie de Metz le 14 octobre 1460, dont nous avons conservé le serment aux autorités urbaines. Il meurt à une date inconnue après 1484.
-
Michel Chaverson (14..-1532)
Michel Chaverson était le gendre de François Le Gronnais. Il épouse Gertrude Le Gronnais le 10 juin 1504. Les époux s'installent dans l'hôtel des Chaverson, rue des Trinitaires. Mais le mariage est de courte durée, Gertrude meurt dès 1508, possiblement de l'épidémie qui affecte la cité. Il hérite à la mort de son père en 1514 du titre de sénéchal et chambellan héréditaire de l'évêché de Metz. Michel meurt veuf le 14 novembre 1532.
Michel est particulièrement connu pour l'inventaire de sa bibliothèque personnelle, le seul parmi les cercles patriciens, qui soit conservé, permettant d'avoir un aperçu de la culture littéraire à Metz à la fin du Moyen Âge. La bibliothèque de Michel Chaverson est peut-être transmise en héritage à son gendre Robert de Heu.
Michel aurait également composé une chronique. Elle est perdue et n'est connue que par une mention de Jean Praillon qui la cite à propos du siège de Metz en 1444 (BMI Epinal 131 f°276v).
-
Meurisse, Martin, Histoire des évesques de l'église de Metz
Meurisse, Martin, Histoire des évesques de l'église de Metz, Metz, 1634
-
Meurisse, Martin, Histoire de la naissance, du progrès et de la décadence de l'hérésie dans la ville de Metz et dans le pays messin
Meurisse, Martin, Histoire de la naissance, du progrès et de la décadence de l'hérésie dans la ville de Metz et dans le pays messin, Metz, 1670
-
Mercier, Pierre-Marie, Les Heu, une famille patricienne de Metz (XIVe-XVIe siècle)
Mercier, Pierre-Marie, Les Heu, une famille patricienne de Metz (XIVe-XVIe siècle), thèse sous la direction de Mireille Chazan, Université de Lorraine, 2011.
-
Mercier, Pierre-Marie, « La bibliothèque Chaverson »
Mercier, Pierre-Marie, « La bibliothèque Chaverson », Master 2 : Histoire, Université Paul
Verlaine-Metz, 2006.
-
MENDEL, Pierre, « Les Juifs à Metz »
MENDEL, Pierre, « Les Juifs à Metz », Annales de l’Est, n°3 (1979), p. 239-256.
-
Mémoires de Philippe de Vigneulles (traduction)
Mémoires / Philippe de Vigneulles ; traduction en français moderne, introduction et notes par Alain Cullière, Paris, Honoré Champion, 2023.
-
Mémoires de Philippe de Vigneulles (Paris, BNF, NAF 6720)
-
Mémoires de Philippe de Vigneulles (édition Michelant, 1852)
Gedenkbuch des Metzer Bürgers Philippe von Vigneulles aus den Jahren 1471 bis 1522, édité par Henri Michelant, Stuttgart, 1852.
-
Mémoire de la famille Renguillon (XVIe siècle)
Cette inscription a été placée dans la chapelle des Le Gronnais, dans le collatéral nord de l'église Saint-Martin, par Jean Papperel et sa femme Alixette Renguillon. Jean a placé une inscription en mémoire de ses ancêtres à Saint-Livier, et le couple fait de même en mémoire des ancêtres d'Alixette à Saint-Martin.
-
Mémoire de la famille Papperel (XVIe siècle) L'inscription faisant mémoire des défunts de la famille Papperel était placée à droite dans le choeur de l'église Saint-Livier. Jean Papperel fait placer ce texte pour faire mémoire de son père, de son grand-père et de son frère, puis il est complété à sa mort en 1502. Lors de la démolition de l'église, quelques fragments de l'inscription ont été récupérés par le musée, que l'on peut identifier grâce au relevé de l'inscription, fait au XVIIIe siècle.
-
Mazauric, Roger, « Le tragique destin d’un patricien messin : Gaspard de Heu, sr. de Buy »
Mazauric, Roger, « Le tragique destin d’un patricien messin : Gaspard de Heu, sr. de Buy », Mémoires de l’Académie nationale de Metz (1980), p. 118-142.
-
Matthieu Rembal (13..-14..)
Matthieu (ou Mattheus en latin) Rembal est un chanoine de la cathédrale de Metz. Avant 1408, il habite la maison canoniale n°16, place de Chambre. Il meurt à une date inconnue.
-
Matthias Henner (14..-1528) Matthias Henner est un clerc d'origine germanique ; il est chanoine de Metz de 1502 à 1528. Il contribue aux grands travaux de la cathédrale en participant à la construction du jubé. En 1524, il offre un vitrail qui est installé dans la chapelle Saint-Joseph, dans l'abside. Sur ce vitrail identifié par Guillaume Frantzwa à partir de ses armoiries, il est vêtu en chanoine mais se présente comme chevalier de l'ordre du Saint-Sépulcre de Jérusalem, alors même que cet ordre de moines soldats a été fusionné avec les chevaliers de Saint-Jean (futur ordre de Malte) en 1489.