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Nicolle Drouin (13..-14..)
Nicolle Drouin est le fils de Nicolle Drouin et de Catherine Daniel. Il épouse Marguerite Le Hungre, dont il est le premier époux. Il meurt encore jeune adulte entre 1418 et 1426. Marguerite se remarie alors avec Joffroy Desch vers 1426. Leurs deux seuls enfants, Nicolle et Perrette, meurent jeunes sans alliance en 1426.
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Nicolle Drouin (13..-1366)
Nicolle Drouin est le fils d'un certain Drouin Ruke. Il épouse une fille de Nicolle Gemel et de Contesse de Heu, avec qui il n'a aucun enfant. Devenu veuf, il se remarie avec Marie Baudoche. Il meurt le 23 mars 1366. Marie se remarie alors avec Jean Louve dit le Jeune.
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Nicolle Desch (1414-1477) Nicolle Desch est le fils de Jacques I Desch et de Poince de Vy. Il naît vers 1414. Il part de Metz vers l'âge de 15 ans faire ses études dans les universités d'Allemagne et d'italie : il est à Heidelberg en 1429, à Cologne à partir de 1431, à Pavie en 1438, enfin à Bologne en 1440-1442. En 1442, après avoir été recteur de l'université de Bologne, il devient docteur en droit romain (« décret »). Chanoine de Metz dès 1428, il est élu trésorier du chapitre cathédral de Metz pendant ses études, en 1435. Il obtient une prébende de chanoine en 1455 et la charge de chantre en 1460. Il est le dernier à obtenir l'office de trésorier, qui est supprimé après sa mort survenue le 27 juin 1477.
Il était également chanoine de la cathédrale de Verdun, bénéfice qu'il résigne en 1464 en faveur d'un ancien camarade de l'université de Cologne.
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Nicolle Desch (14..-15..)
Nicolle Desch se fiance le 11 mai 1503 avec Barbe Le Gronnais, fille du premier mariage de François Le Gronnais, Leur mariage est célébré dès le lendemain. Après le décès de Barbe, qui le laisse veuf et sans enfants en janvier 1521, il est impliqué dans un long conflit juridique de succession avec son beau-père François Le Gronnais, que relate longuement Philippe de Vigneulles dans sa Chronique. Selon Philippe de Vigneulles, il possède « un biaulz manoir et lieu de plaisance » au bourg Saint-Julien, dont la localisation précise reste inconnue. Il meurt à une date inconnue, après 1528.
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Nicolle Desch (14..-1487)
Nicolle Desch est le fils de Philippe Desch et de Contesse de Warise. Il est fait chevalier à l'occasion du sacre du roi Louis XI à Reims en août 1461. Il apparaît d'abord inscrit dans le paraige de son père, Porte-Moselle. Mais, encore jeune et célibataire, il change vers 1475 pour le paraige de Saint-Martin dans lequel il mène l'ensemble de son cursus municipal. Il se marie en 1476 avec Catherine Chaverson, veuve de Pierre Le Gronnais. Il meurt à une date imprécise au cours de son pèlerinage en Terre Sainte.
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Nicolle de Warise (13..-142.)
Nicolle ou Collignon de Warise est le fils de Joffroy de Warise avec sa première épouse Suzanne. Il épouse Collette Baudoche, veuve de Jean Noiron. Il semble encore jeune adulte lorsqu'il meurt entre 1424 et 1427, laissant Collette une nouvelle fois veuve. Elle se remarie avec Gillet Bataille. Il est sans doute encore jeune adulte au moment de son décès ce qui expliquerait qu'il n'y ait pas traces de son inscription en paraige et de ses activités au sein du gouvernement urbain.
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Nicolle de Vienne (15..-1623)
Née vers 1537, Nicolle de Vienne est la fille de Claude-Antoine de Vienne et de Catherine de Heu. Elle est élevée dans la culture protestante à Genève. Elle est la riche et unique héritière du patrimoine familial et récupère l'hôtel des Chaverson et les droits sur Grimont, Montoy, Puxe et d'autres lieux. En 1614, elle vend à Bernard de Raigecourt l'office de sénéchal et chambellan héréditaire de l'évêché de Metz. Elle se marie en premières noces avec Jacques de Jaucourt qui meurt entre 1585 et 1586. Elle se remarie dès 1586 avec Ezéchiel de la Trémoille. Elle meurt le 27 juillet 1623 à Metz.
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Nicolle de Raigecourt dit Xappel (14..-1458)
Nicolle de Raigecourt dit Xappel est l'un des fils de Jean de Raigecourt dit Xappel et de Mahaut Le Hungre. Il épouse en premières noces Maiausette Noiron, unique héritière de la famille Brady, dont il est le deuxième époux. Veuf et sans descendance il se remarie entre 1442 et 1446 avec Isabelle Desch dit la Sourde qui lui donne un fils : Philippe. Il meurt en 1458 et son corps est enseveli dans la collégiale de Saint-Thiébaut. Isabelle se remarie ensuite avec le noble homme Philippe de Bibra, qui s'installe à Metz.
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Nicolle de Raigecourt (14..-1539)
Nicolle de Raigecourt est le fils aîné de Philippe de Raigecourt dit Xappel et de Catherine de Ville. Il participe aux guerres d'Italie dans les armées du roi de France : il est adoubé chevalier en 1509 à la bataille d'Agnadel. Il épouse Contesse Desch à une date inconnue en 1511.
Il apparaît d'abord dès 1514 au paraige de Porsaillis, celui de son père, mais il change pour le paraige d'Outre-Seille au sein duquel il mène l'ensemble de sa carrière municipale. Il meurt en 1539, laissant son épouse Contesse veuve. Son corps est inhumé à la collégiale de Saint-Sauveur.
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Nicolle de Métry (13..-1406) Nicolle de Métry est le fils aîné de Thiébaut de Métry et de Blancheron Roillenat. Issu d'un lignage noble, il hérite de nombreux droits en totalité ou en partie sur des seigneuries du Pays messin. Il épouse Alix Noiron à une date inconnue. Nicolle de Métry est le dernier du lignage de Métry à faire partie des paraiges et à vivre à Metz : ses frères meurent sans descendance connue et ses trois enfants se marient avec des étrangers et s'installent hors de la cité, abandonnant leurs droits sur les paraiges et le gouvernement de la cité. Le départ des Métry de Metz pourrait s'inscrire dans les suites de l'échec de la Rébellion de la Commune en 1405-1406. Il meurt au cours de l'année 1406.
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Nicolle de la Court (12..-13..)
Nicolle de la Court est le fils de Jean de la Court et d'une mère inconnue. Il épouse Poince Ruèce avec qui il a 5 enfants qui nous soient connus. Il meurt entre 1304 et 1311.
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Nicolle de Heu (13..-1...) Nicolle de Heu est le seul fils vivant à la mort de ses parents Guillaume de Heu et Collette Lohier. Il épouse Isabelle, fille de Nicolle Mortel et de Jacques Baudoche avant 1355. Il hérite du château d'Ennery dont il est le seigneur. Au service du roi de France Charles VI, il participe à la bataille de Roosebeke du 27 novembre 1382, qui lui vaut d'être sacré chevalier. Il meurt entre 1398 et 1402, laissant Isabelle veuve. Son corps est inhumé à l'église Saint-Martin-en-Curtis.
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Nicolle de Châlons (1...-1393)
Nicole de Châlons est un chanoine de la cathédrale de Metz dès 1337 et jusqu'à sa mort en 1393. Il est l'oncle de Jacomin de Châlons, clerc des Treize. Les Châlons deviennent une « dynastie » de secrétaires municipaux à Metz, jusqu'à la mort de Jacomin, petit-fils du premier, alors que la charge de clerc des Treize est vendue à son gendre Gillet Le Bel, qui a épousé sa fille Alixon de Châlons.
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Nicolle de Chahanay (15..-1555)
Nicolle de Chahanay est la fille d'Antoine de Chahanay et d'Aliénor de Dommartin. Elle épouse Richard de Raigecourt dont elle est la première épouse. Les Chahanay sont particulièrement liés aux paraiges : sa soeur Catherine épouse Jacuqes Le Gronnais, alors que sa soeur Madeleine épouse Philippe Roucel. Elle meurt en couches sans doute encore jeune adulte le 22 novembre 1555. Sa fille Jeanne meurt elle aussi après 4 jours d'existence. Les deux corps sont ensevelis au couvent des Cordeliers de Nancy. Veuf, Richard se remarie avec Jeanne de Ligniville, une autre femme issue d'un lignage noble de la région.
Le relevé de sa sépulture nous est transmise par Jean-Jacques Lionnois : « Devant cet autel repose le corps de Mademoiselle Nicolle de Chahanay, fille d'Antoine de Chahanay, escuyer, seigneur de Sainct-Mars, Fléville & Ruethe, & de Mademoiselle Alienor de Dompmartin, laquelle délivrée d'une fille avec elle ici reposant, nommée Jeanne, fille de Richard de Raigecourt, escuyer, seigneur d'Ancerville, Corny, Hauconcourt en partie, & son espou, tréspassa le 4e jour de son enfantement, & de novembre le 22e en l'an de salut 1555. Priez Dieu pour elle ». Au dessus au milieu de la sépulture sont figurées les armoiries de Nicolle, celles des Chahanay et des Raigecourt, mais également les lignes paternelles (Chahanay, des Armoises, Thillon, Verton) et les lignes maternelles (Dommartin, Germiny, Lenoncourt, du Châtelet). Au bas de la sépulture était figuré un écu écartelé pour Jeanne de Raigecourt sa fille, avec les armes des Raigecourt et des Chahanay.
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Nicolle d'Abocourt dit Fabelle (14..-15..)
Nicolle ou Collignon d'Abocourt dit Fabelle est le fils de Maheu d'Abocourt et de Jennette Eulecol. Homme de paraige, il épouse Mangette Granjean, bourgeoise messine, signe qu'il appartient à la couche la plus modeste des élites urbaines, celle des marchands-merciers qui fournissent les officiers municipaux inférieurs. Il meurt à une date inconnue après 1511. Son fils Jean lui est associé dans ses fonctions de changeur et de monnayeur, puis lui succède.
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Nicolle Brady (13..-13..)
Collignon ou Nicolle Brady est le fils de Jean Brady du Champ-à-Seille du Neufbourg et de Poince de Vy. Il est incertain s'il est inscrit dans un paraige, car nous n'en avons aucune trace. Il épouse Perrette Roucel à une date inconnue ; les deux époux sont encore en vie en 1355. Collignon est inhumé avec son père au couvent des Cordeliers (aujourd'hui le cloître des Récollets), lequel meurt en 1373. L'épitaphe du père et du fils est abîmée, mais on peut supposer que Collignon est décédé à la même époque que son père.
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Nicolle Baudoche dit l'Ancien (12..-134.)
Nicolle Baudoche dit l'Ancien est le fils de Pierre ou Perrin Baudoche et d'une certaine Ermengarde. Il épouse Seliziette Le Gronnais avec qui il a 6 enfants qui nous soient connus. Il meurt entre 1344 et 1347 et son corps est enseveli au couvent des Frères Prêcheurs. Son épitaphe le présente comme "le père des Baudoche" et cite ses trois fils chevaliers.
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Nicolle Baudoche (14..-1547)
Nicolle Baudoche est un des trois fils de Pierre Baudoche et de Bonne de la Marck. Il est chanoine de la cathédrale de Metz et accède à la dignité de grand aumônier. Avec ses frères, il fonde la chapelle Saint-Nicolas dans l'église Saint-Martin, selon les dernières volontés de leur père. Il meurt le 2 février 1547.
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Nicolle Baudoche (13..-13..)
Collignon ou Nicolle Baudoche est le fils de Nemmery Baudoche et d'une fille Bouquin. Il épouse à une date inconnue Lorette de Heu. Il meurt avant 1404, la laissant veuve.
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Nicole Oresme, De latitudinibus formarum (Metz, BM, ms. 378)
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Nicolas Toussaint (14..-1520)
Nicolas Toussaint est originaire de Saint-Laurent, dans le diocèse de Verdun (Meuse actuelle). Il est chanoine de la cathédrale de Metz et aumônier en 1501. De 1501 à 1505, il loge à l'Aumônerie. En 1505, il est en litige avec le légat pontifical Raymond Perrault, au sujet de la dignité de primicier. Toussaint perd son procès mais la mort de Perrault lui permet d'acquérir le titre de primicier et la maison de la Princerie. Il meurt à Rome le 5 août 1520 ; son inventaire après décès a été conservé.
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Nicolas Tabouillot, Épitaphes de toutes les églises de Metz et inscriptions des monuments (Metz, BM, ms. 1497)
Metz (Moselle)
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Nicolas Richard de Loupmont (1...-1573)
Nicolas Richard de Loupmont est un chanoine de la cathédrale de Metz. Il occupe la dignité de primicier dès 1528 et jusqu'à sa mort en 1573. Il habite dès lors la Princerie (maison canoniale n°1).
En 1534, il offre un vitrail à la cathédrale (baie 204), réalisé par Valentin Bousch.
Il peut être apparenté au chanoine Thomas Richart, mort en 1514.
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Nicolas Le Gronnais (1511-1592)
Nicolas Le Gronnais est le seul fils connu de Renaud Le Gronnais et d'Alixette Remiat. Âgé seulement d'une vingtaine d'année au moment du décès subit de son père dans l'écroulement de leur maison en 1531, il se marie avec Anne du Châtelet, issue d'un lignage noble lorrain. Nicolas Le Gronnais est le seul homme de paraige qui occupe à trois reprises l'office de maître-échevin, normalement limité à l'époque à deux mandats. Adoubé chevalier en 1540, il est élu pour quelques mandats à titre de Sept commis de la guerre, mais ne mène pas une carrière très active au sein du gouvernement municipal. Devenu veuf vers 1548, il meurt en 1592 à l'âge de 81 ans sans s'être jamais remarié.
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Nicolas Dorvaux (1856-1923)