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Catherine de Raigecourt (14..-1466)
Catherine de Raigecourt est la'une des deux filles de Perrin de Raigecourt et de Jennette Le Gronnais. Elle épouse en premières noces Jacomin de Warise, qui meurt en 1452. Elle convole en secondes noces avec Humbert de Hucorne. Elle meurt de peste le 17 août 1466, comme peu après ses deux enfants Humbert et Jennette, durant la terrible épidémie qui ravage la ville.
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Catherine de Ville (14..-1499)
Catherine de Ville est la fille de Nicolle de Ville et de Mahaut de Ville. Elle se marie entre 1485 et 1499 avec Philippe de Raigecourt dit Xappey, dont elle est la deuxième épouse, après son divorce avec Françoise de Warise. Elle meurt le 3 décembre 1499, laissant trois fils à Philippe de Raigecourt qui meurt quelques mois plus tard. Joffroy, Nicolle et Joffroy, encore mineurs, sont alors mis sous la tutelle d'André de Rineck.
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Catherine Dieu-Ami (14..-1439)
Catherine Dieu-Ami est la fille de Jean Dieu-Ami et de Marie Drouin. Elle est la première et seule épouse connue de Jean Desch dit le jeune. Elle meurt le 16 septembre 1439, durant l'importante épidémie de peste, quelques jours seulement après son époux. Elle est inhumée dans la chapelle Saint-Blaise avec son époux, en l'église Saint-Eucaire.
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Catherine Faulquenel (13..-13..)
Catherine Faulquenel est la fille de Jean Faulquenel et d'une mère inconnue. Elle épouse Gilles Le Bel, qui meurt entre 1377 et 1379 la laissant veuve. Elle meurt veuve après 1384.
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Catherine Faulquenel (13..-14..)
Catherine Faulquenel est la fille de Jacomin Faulquenel et de Catherine de Tournay. Elle est la première et seule épouse connue de Joffroy Desch, avec qui elle se marie à une date inconnue. Le couple habite fort possiblement la maison aux plafonds peint au 11 rue de la Fontaine. Elle meurt veuve après 1404.
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Catherine Gourdat (13..-14..)
Catherine Gourdat est la fille de Maheu Gourdat dit Linglois de Saulnerie et d'une Martenette, sa première épouse. Elle épouse Hennequin de Tournay qui achète une table de changeur en 1361 avec qui elle a huit enfants qui nous soient connus. Veuve depuis la mort de son époux en 1384, elle meurt à son tour à une date inconnue après 1404.
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Catherine Grognat (13..-13..)
Catherine Grognat est la fille de Jacques Grognat et de Anel de Verey. Elle épouse Pierre de Heu, fils de Thiébaut de Heu et d'Alix de la Court. Elle meurt à une date inconnue possiblement dans la première moitié du XIVe siècle.
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Catherine Hunebourjat (13..-14..)
Catherine Hunebourjat est la fille de Jean Hunebourjat et d'une certaine Hawy. Elle épouse Jean, fils de Guillaume Chaverson et d'Idette Chaving. Ensemble, le couple a trois enfants qui nous soient connus : Guillaume, Jean et Idette. Catherine meurt veuve après 1427.
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Catherine Le Gronnais (12..-13..)
Catherine Le Gronnais est la fille de Joffroy Le Gronnais et d'une mère inconnue. Elle épouse Philippe, fils de Philippe Tignienne dit Chaving. Le couple a cinq enfants qui nous soient connus : Idette, Joffroy, Perrin, Marguerite et Augustin. Elle meurt à une date inconnue dans la première moitié du XIVe siècle. Son corps est enseveli au couvent des Frères prêcheurs, mais sa sépulture est sans date.
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Catherine Le Gronnais (13..-13..)
Catherine Le Gronnais est la fille de Poince Le Gronnais dit l'Aveugle et d'une certaine Contesse. Elle se marie avec Jean Le Hungre. C'est un double mariage, son frère Thiébaut Le Gronnais se marie avec Mahaut Le Hungre, la soeur de Jean. Catherine meurt avant 1391. Sa sépulture se trouvait dans l'église Notre-Dame-aux-Champs, avant d'être transférée aux Célestins en 1444.
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Catherine Le Gronnais (13..-1472)
Catherine Le Gronnais est la fille de Laurent Le Gronnais et de Catherine Baudoche. Elle se marie en premières noces à Jacques le Hungre en 1411. Il la laisse veuve et sans enfants le 3 mai 1433. Elle convole en deuxièmes noces avec Poince Baudoche entre 1433 et 1436. Veuve une nouvelle fois le 28 avril 1465, aucune descendance ne lui est connue. Elle mène une vie pieuse durant les dernières années de sa vie, bienfaitrice de l'église Saint-Martin-en-Curtis et du couvent des Célestins. Elle fonde un autel à Saint-Martin en 1467, dont elle détaille la fondation en 1472, et qui est sans doute associé à la commande plusieurs vitraux. Selon le nécrologe de l'hôpital Saint-Nicolas, elle fait reconstruire en 1471 les infirmeries des femmes et des hommes ainsi que la cour de l'hôpital.
Sa sépulture se trouve en l'église Saint-Martin.
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Catherine Le Gronnais (14..-1490)
Catherine Le Gronnais est la seule enfant issue de l'union entre Pierre Le Gronnais et Catherine Chaverson. Elle est la première épouse de Nicolle de Heu, avec qui elle se marie le 9 novembre 1489. Le mariage est de courte durée, elle meurt le 18 novembre 1490 durant l'épidémie de peste.
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Catherine Le Gronnais (14..-1516)
Catherine Le Gronnais est la fille de Michel Le Gronnais et de Jacomette Bataille. Elle est la seule épouse de Jean d'Abrienne dit Chaving avec qui elle se marie en 1493 ou avant. Elle meurt en 1516, le laissant veuf. Il meurt assassiné par son serviteur en 1523 vers l'âge de 60 ans.
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Catherine Le Hungre (13..-14..)
Catherine est la fille de Jean Le Hungre dit l'Aîné et de Catherine Le Gronnais. Elle épouse Jean, fils de Jean Barroy et de Poincerelle Eulecol. Le couple a deux filles qui nous soient connues : Collette et Catherine. Devenue veuve entre 1398 et 1401, elle meurt après 1422.
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Catherine Lohier (13..-14..)
Catherine Lohier est la fille de Joffroy Lohier et de Poince Fessal. Elle épouse Jean Papperel dit le Jeune, mais ce dernier meurt assez jeune durant l'épidémie de peste de 1438-1439. Un seul enfant est connu de cette alliance : Nicolle Papperel. Catherine meurt à une date inconnue.
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Catherine Roucel (14..-1474)
Catherine est la fille de Werry Roucel et de Catherine Baudoche, sa première femme. Elle meurt, sans doute jeune, en 1474, peu de temps après sa mère : l'une le 2 août 1474, l'autre le 27 août suivant. Elles sont inhumées au couvent des Célestins.
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Cavalier et priant Ces deux sculptures formaient peut-être un groupe. Le cavalier est vêtu d'une cotte de maille qui lui couvre tout le corps et d'une tunique sans manches. Il porte un casque, l'écu sur la poitrine et devait tenir de la main droite une lance ou une oriflamme.
Le personnage à genoux est lui aussi vêtu comme un chevalier, il a l'épée à la ceinture mais ne porte pas de casque. Il est bien plus petit que le cavalier, ce qui permet de l'identifier comme un donateur en prière devant un saint, qui serait ici saint Georges. Dans ce cas-là, la lance disparue ne transperçait pas le dragon car elle devait pointer vers le haut : le cheval devait plutôt le piétiner.
Les deux pièces ont été collectées rue du Champé au XIXe siècle. Mais on peut les rapprocher, au moins par l'iconographie, de la description du tombeau de Maheu Ruece au couvent des Dominicains : un patricien se fait représenter sur son tombeau en chevalier, priant le saint patron de la confrérie des chevaliers du Christ.
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Celle qui allait en pèlerinage à Sainte-Barbe sur le dos
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Cellérier
Le cellérier ou intendant (cellerarius en latin) est l'un des quatre officiers du cloître en charge de la gestion temporelle de la communauté des chanoines de Metz, avec le sénéchal, le camérier et le percepteur.
Dans la Règle de Chrodegang, le cellérier est cité à plusieurs reprises et un paragraphe entier lui est consacré. Il doit craindre Dieu, être tempérant, non grand buveur, ni querelleur, ni courroucé mais au caractère modeste, mature et fidèle. Il ne devra rien faire sans ordre de l’évêque et ne devra pas gaspiller, ni dissiper les biens du clergé. Au réfectoire, l’intendant est de service pendant que la communauté mange, sauf s’il est occupé à des affaires importantes, dans ce cas il est dispensé du service de cuisine. Cette fonction est modifiée en 1197, sous l’évêque Bertram.
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Cerchier
Le cerchier (circator en latin) est l'un des quatre officiers du chapitre, avec le coûtre, l'aumônier (et le sous-aumônier) et l'écolâtre. Il est attaché au cloître, exerçant la fonction de gardien ou surveillant général.
Il faisait à l'origine la « ronde », au cours de laquelle il réalisait la surveillance et la visite des locaux du chapitre. Lorsque le doyen est absent, il préside et convoque les réunions capitulaires. De plus, il commence l'office des complies, introduit les processions et récite les oraisons et prières aux défunts durant ces dernières.
La charge de cerchier apparaît en 1197, moment où le chapitre décide d'en élire pour chaque année et est supprimée en 1601.
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Chabert, François-Michel, « Les rues de Metz. Place Saint-Vincent »
Chabert, François-Michel, « Les rues de Metz. Place Saint-Vincent », L'Austrasie, 1860, p. 281-287.
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Chabert, François-Michel, « Les rues de Metz. Rue d’Asfeld »
Chabert, François-Michel, « Les rues de Metz. Rue d’Asfeld », L’Austrasie, 1858, p. 201-207.
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Chabert, François-Michel, « Les rues de Metz. Rue Lasalle»
Chabert, François-Michel « Les rues de Metz. Rue Lasalle», L’Austrasie, 1860, p. 57-62.
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Chabert, François-Michel, « Les rues de Metz. Rue Mazelle »
Chabert, François-Michel, « Les rues de Metz. Rue Mazelle », L'Austrasie, 1858, p. 418-434.
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Chabert, François-Michel, « Les rues de Metz. Rue Saint-Eucaire »
Chabert, François-Michel, « Les rues de Metz. Rue Saint-Eucaire », L'Austrasie, 1859, p. 485-492.