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Marion Xullefert (13..-13..)
L'ascendance de Marion Xullefert est inconnue. Elle est comme l'épouse de Simonat de Chambre en 1330 et 1344. Deux fils leur sont connus : Bertrand et Jean de Chambre. Elle meurt à une date inconnue.
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Catherine Bertrand (13..-13..)
Catherine Bertrand est la fille de François Bertrand et de Collette Porrée. Elle épouse en premières noces Jean, fils de Simonat de Chambre et de Marion Xullefert. Devenue veuve entre 1367 et 1375, elle convole en secondes noces avec Bertrand, fils de Simonat Sollatte et d'une certaine Perrette. Elle meurt après 1389, à une date inconnue. Aucune descendance n'est connue de ce deuxième mariage.
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Jean de Chambre (13..-13..)
Jean de Chambre est l'un des deux fils de Simonat de Chambre et de Marion Xullefert. Il épouse Catherine, fille de François Bertrand et de Collette Porrée. Il meurt entre 1367 et 1375 sans doute encore jeune adulte. C'est sans doute ce qui explique l'absence de trace d'une inscription en paraiges. Veuve, Collette se remarie avec Bertrand Sollatte.
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Bertrand de Chambre (13..-13..)
Bertrand de Chambre est l'un des deux fils de Simonat de Chambre et de Marion Xullefert. Mentionné au paraige de Saint-Martin dans la branche des Gaillard en 1388, nous ne connaissons rien sur sa vie. Il est mentionné en 1389 comme l'un des héritiers des Messins ayant des droits sur les forges de Briey que le comte de Bar s'efforce de racheter. Il meurt à une date inconnue, possiblement sans postérité.
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Simonat de Chambre (13..-13..)
Simonat de Chambre est le fils de Bertrand de Chambre et d'une mère inconnue. Il épouse Marion Xullefert, d'une famille liée aux paraiges mais dont les liens de parenté sont incertains. Le couple a deux fils qui nous soient connus : Bertrand et Jean. Simonat meurt à une date inconnue entre 1355 et 1367, possiblement veuf.
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1285-1393 - Les financiers messins mettent la main sur les forges de Briey
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Bertrand de Chambre (12..-1318)
Bertrand de Chambre est le fils de Simon de Chambre et d'une mère inconnue. On ne connait pas le nom de son épouse, mais deux de ses enfants nous sont connus : Simonat et Contesse. Bertrand meurt le 29 janvier 1318 et son corps est enseveli avec celui de son grand-père, de son père et de son oncle paternel à l'église Saint-Victor-en-Chambre.
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Henri de Chambre (12..-1296)
Henri de Chambre est le fils de Jacques de Chambre et d'une certaine Ailey. Il meurt sans doute jeune encore célibataire le 19 novembre 1296. Son corps est enseveli à l'église Saint-Victor-en-Chambre.
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Simon de Chambre (12..-13..)
Simon de Chambre est le fils de Jacques de Chambre et d'une certaine Ailey. Nous ne connaissons pas le nom de son épouse, mais il a trois fils qui nous sont connus : Bertrand, Philippin et Mahaut. Simon est le premier à occuper l'office de maître-échevin suivant l'atour de 1300 qui impose l'élection du maître-échevin en rotation chaque an parmi les paraiges. Il meurt à une date inconnue après 1305 et son corps est inhumé dans l'église Saint-Victor-en-Chambre.
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Jacques de Chambre (12..-1268)
Jacques de Chambre est le fils de Maheu de Chambre et d'une certaine Drude. Il se marie avec Ailey et a deux fils qui nous sont connus : Henri et Simon. Il meurt le 28 avril 1268.
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Épitaphes de la famille de Chambre (XIVe siècle) Cette épitaphe associe trois générations de la famille des De Chambre : le grand-père, Jacques, échevin du Palais, mort le 28 avril 1268, son fils Henriet mort le 19 novembre 1296, et enfin Bertrand, échevin du Palais, qui est le fils de Simon de Chambre et donc petit-fils de Jacques, mort le 29 janvier 1318. Le texte est disposé d'une façon originale : l'inscription de Jacques est gravée sur les quatre bords de la pierre ; celle d'Henriet, elle aussi gravée sur quatre côtés, forme un bandeau intermédiaire ; l'inscription de Bertrand, au centre, est disposée en lignes, mais la fin du texte est gravée sur le bandeau du milieu. Sur la même ligne, on lit donc la fin de l'inscription d'Henriet ("l'an 1296") et, tête-bêche, la fin de celle de Bertrand ("17. Priez pour lui").
Les lettres gravées sont peintes en rouge. L'inscription était autrefois au portail de l'église paroissiale de Saint-Victor. La disposition tête-bêche du texte permet de supposer qu'à l'origine elle était conçue comme le couvercle d'un tombeau.