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Marguerite Le Gronnais dit Volgenel (13..-14..)
Marguerite Le Gronnais dit Volgenel est la fille de Maheu Le Gronnais dit Volgenel et de Seliziette Renguillon. Elle épouse Henri, fils de Simonin Roucel. Par son mariage avec lui, l'hôtel de Philippe Le Gronnais en face de Saint-Martin passe aux Roucel. Veuve avant 1383, elle meurt après 1404.
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Michel Chaverson (14..-1532)
Michel Chaverson était le gendre de François Le Gronnais. Il épouse Gertrude Le Gronnais le 10 juin 1504. Les époux s'installent dans l'hôtel des Chaverson, rue des Trinitaires. Mais le mariage est de courte durée, Gertrude meurt dès 1508, possiblement de l'épidémie qui affecte la cité. Il hérite à la mort de son père en 1514 du titre de sénéchal et chambellan héréditaire de l'évêché de Metz. Michel meurt veuf le 14 novembre 1532.
Michel est particulièrement connu pour l'inventaire de sa bibliothèque personnelle, le seul parmi les cercles patriciens, qui soit conservé, permettant d'avoir un aperçu de la culture littéraire à Metz à la fin du Moyen Âge. La bibliothèque de Michel Chaverson est peut-être transmise en héritage à son gendre Robert de Heu.
Michel aurait également composé une chronique. Elle est perdue et n'est connue que par une mention de Jean Praillon qui la cite à propos du siège de Metz en 1444 (BMI Epinal 131 f°276v).
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Michel de Barisey (15..-1563)
Son père André de Barisey est le premier membre de ce lignage du Barrois à s'installer à Metz. Michel peut entrer dans un paraige, grâce au mariage de son père avec Contesse Desch. Michel, seigneur de Barisey, est le premier et seul époux connu de Aimée Le Gronnais, qu'il épouse en 1531. Il participe activement au gouvernement de la cité, particulièrement à titre de Sept commis de la guerre. La Chronique rimée fait sa louange pour avoir construit à es frais une maison pour les arquebusiers, troupes qui auparavant devaient loger chez l'habitant, en occasionnant des « esclandres ».
Il se tourne vers la Réforme vers 1543 et fait ensuite partie de la communauté protestante de la cité. Il compose alors un recueil de chants spirituels, que possède son fils en 1561. Il meurt en 1563.
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Michel Le Gronnais (14..-1501)
Michel Le Gronnais est le fils de Didier Le Gronnais et de Isabelle de Heu. Il apparaît d'abord sur la liste du paraige de Porsaillis, mais change pour le paraige de Jurue, dans lequel il mène l'ensemble de son active carrière municipale. Il épouse Jacomette Bataille à une date inconnue avant 1466. Il est fait chevalier à l'occasion du sacre du roi Louis XI à Reims en août 1461. En 1469, son élection comme Sept de la guerre entraîne une crise au sein du gouvernement municipal : une partie des Treize se met alors en grève pour protester, sans qu'on connaisse la raison du conflit. Veuf dès 1473, Michel ne se remarie pas et meurt en 1501.
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Michel Le Gronnais (14..-1526) Michel Le Gronnais est le fils de Renaud Le Gronnais avec Barbe Cunehem. Il se marie le 3 février 1506 avec Marguerite de Norroy. Elle meurt le laissant veuf en 1517. Nous n'avons la trace que d'une seule fille, Claude (ou Claudine), qui survit après la mort de Michel le 14 octobre 1526. Il est d'abord inhumé en l'église de Saint-Martin-en-Curtis. Sa sépulture est déplacée en 1590 au couvent des Dames Prêcheresses à la requête de Philippe d'Orjault, sa petite-fille, religieuse dominicaine.
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Michel Le Gronnais dit le Jeune (14..-1551)
Michel Le Gronnais, fils de François Le Gronnais et de sa seconde épouse Françoise Le Gronnais, épouse Philippe de Florainville, issue d'un lignage noble du Barrois, en 1515. Il a un fils bâtard, Joseph, qui devient chanoine de la cathédrale. Il est responsable de la construction de l'hôtel de Burtaigne en 1531. En 1533, il est conseiller et chambellan d'Antoine Ier, duc de Lorraine. Il meurt le 1er juin 1551.
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Monument de Jennette de Heu (XIVe et XVe siècles) Dans l'église Saint-Martin-en-Curtis, ce monument semble composé de plusieurs parties, d'au moins deux époques différentes. En haut, trois peintures de la vie de la Vierge ont été très restaurées.
En bas, le mur est sculptée d'une série de dix arcatures aveugles, sous lesquelles court une inscription incomplète, qui cite le nom de Jennette de Heu, femme de Jean Baudoche ; les armes des Heu et des Baudoche sont placées dans les écoinçons entre les arcatures. Ce monument de Jennette de Heu, morte avant 1373, date de la seconde moitié du XIVe siècle.
À gauche et à droite des arcatures, deux belles sculptures datent du XVe siècle. A gauche, un trompe-l'œil évoque un rideau fermé. A droite, un même rideau s'ouvre sur une niche qui représente la crèche : un groupe en haut relief polychromé est composé de Marie tenant l'enfant sur la mangeoire, entourés par des brebis. Sous la tenture fermée, une inscription gravée et rehaussée de noir sur fond rouge cite la mémoire de X, femme de Poince Le Gronnais, qui serait morte le jour de l'Ascension, 2 mai 1435, ainsi que ses enfants. Ce couple n'a pas été identifié et l'Ascension ne tombe pas un 2 mai cette année-là. Il est possible que le tombeau de Jennette de Heu ait été réaménagé pour une autre patricienne au siècle suivant.
Le monument, muré en 1726, a été redécouvert et dégagé en 1850 puis repeint abusivement. Il a été classé monument historique en 1973.
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Monument funéraire de François Le Gronnais (†1525)
Selon les notes de Henri-Marie Dupré de Geneste, l'imposant mausolée de François Le Gronnais se trouvait dans la chappelle Saint-Éloi et Saint-Georges en l'église paroissiale Saint-Maximin. Il se présentait comme un coffre carré couvent d'une grosse lame de cuivre au bout des deux extrémités s'élevaient deux colonnes doriques. Il était surmonté d'un entablement, d'une frise, d'une grosse corniche et d'un couronnement, avec une arcade cintrée de 6 pieds de haut et de 7 à 8 pieds de large. Il s'y trouvait également une statue grandeur réelle en pierre blanche de François en chevalier, avec épée au fourreau, cote de maille, brassards, cuissards, cuirasse et manteau de chevalier aux armes des Gronnais, couché sur le dos sur une table de marbre noir, un coussin sous la tête. Au centre de l'arcade étaient représentés 8 écus armoriés qui surplombaient l'épitaphe : Ogéviller, Chevilly, Dieu-Ami, Drouin, Gronnais, Abocourt, Daniel et Mortel. Sur des corniches près du mausolée, 28 statuettes représentaient ses 28 enfants, chaque prénom écrit en lettre d'or sur leur base. En tout, 51 statuettes auraient été posées sur les corniches, sans que l'on sache, selon les observation de Dupré de Geneste, lesquelles auraient été attribuées aux enfants et aux épouses de François Le Gronnais.
Traduction de l'épitaphe : « Ici devant git messire François Le Gronnais, chevalier et échevin du palais, fils de feu messire Renaud Le Gronnais chevalier et de dame Perrette Dieu-Ami, en son vivant conseiller et chambellan de l'empereur Charles Quint, lequel, entre autres vertus dont il a été richement doué, est décédé père de vingt-huit enfants procréés des feues dames Perrette Louve, Françoise Le Gronnais et Barbe Desch, ses feues femmes et épouses, ainsi que clairement est donné à voir par les mémorables sculptures posées en cette chapelle. Ledit seigneur François Le Gronnais, délaissant par mort naturelle sa quatrième femme et épouse dame Barteline de Boulan, rendit l'âme à Dieu le premier jour de janvier en l'an 1525 entre les humains. Il vécut très humainement l'espace de 74 ans. Priez Dieu pour lui afin qu'il vive éternellement. »
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N. Le Gronnais (13..-14..)
N. Le Gronnais est l'une des filles de Maheu Le Gronnais dit Volgenel et de Seliziette Renguillon dont le prénom n'est pas connu. Il n'est pas impossible qu'il s'agisse de Catherine ou Marguerite qui se serait remariée après la mort de leur premier époux. Elle épouse Jean Drouin et meurt à une date inconnue. Un seul enfant lui est connu : Nicolle Drouin dit le Jeune.
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Nicolas Le Gronnais (1511-1592)
Nicolas Le Gronnais est le seul fils connu de Renaud Le Gronnais et d'Alixette Remiat. Âgé seulement d'une vingtaine d'année au moment du décès subit de son père dans l'écroulement de leur maison en 1531, il se marie avec Anne du Châtelet, issue d'un lignage noble lorrain. Nicolas Le Gronnais est le seul homme de paraige qui occupe à trois reprises l'office de maître-échevin, normalement limité à l'époque à deux mandats. Adoubé chevalier en 1540, il est élu pour quelques mandats à titre de Sept commis de la guerre, mais ne mène pas une carrière très active au sein du gouvernement municipal. Devenu veuf vers 1548, il meurt en 1592 à l'âge de 81 ans sans s'être jamais remarié.
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Nicolle Baudoche dit l'Ancien (12..-134.)
Nicolle Baudoche dit l'Ancien est le fils de Pierre ou Perrin Baudoche et d'une certaine Ermengarde. Il épouse Seliziette Le Gronnais avec qui il a 6 enfants qui nous soient connus. Il meurt entre 1344 et 1347 et son corps est enseveli au couvent des Frères Prêcheurs. Son épitaphe le présente comme "le père des Baudoche" et cite ses trois fils chevaliers.
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Nicolle Desch (14..-15..)
Nicolle Desch se fiance le 11 mai 1503 avec Barbe Le Gronnais, fille du premier mariage de François Le Gronnais, Leur mariage est célébré dès le lendemain. Après le décès de Barbe, qui le laisse veuf et sans enfants en janvier 1521, il est impliqué dans un long conflit juridique de succession avec son beau-père François Le Gronnais, que relate longuement Philippe de Vigneulles dans sa Chronique. Selon Philippe de Vigneulles, il possède « un biaulz manoir et lieu de plaisance » au bourg Saint-Julien, dont la localisation précise reste inconnue. Il meurt à une date inconnue, après 1528.
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Nicolle III de Heu (1461-1535) Nicolle de Heu est le fils de Jean de Heu dit l'aumônier et de Jennette Chevallat. Sa mère meurt à sa naissance, et il perd son père à l'âge de 5 ans. Il se marie en premières noces avec Catherine Le Gronnais le 9 septembre 1488. Le mariage est de courte durée : Catherine meurt dès 1490. Veuf et sans descendance, il convole en seconde noces avec Marguerite de Brandebourg, issue d'un grand lignage noble du Luxembourg. Les fiançailles sont célébrées le 30 juillet 1492 et le mariage le 6 août suivant. Leur premier enfant attesté, Nicolas, naît en novembre 1494. Nicolle de Heu est adoubé chevalier en 1498. Le couple a au moins 12 enfants en 21 ans.
Nicolle III est le seul de son lignage à appartenir à un autre paraige que le Commun. Il paraît avoir opté assez jeune pour le paraige de Porte-Moselle, dans lequel il mène l'ensemble de sa carrière municipale. Il a des goûts de grand seigneur cultivé : il rassemble une collection de monnaies romaines, fait composer des livres à la gloire de sa généalogie et s'intéresse aux découvertes d'antiques. Il meurt le 8 juin 1535, laissant Marguerite veuve avec de nombreux enfants. Son corps est inhumé dans l'église Saint-Martin-en-Curtis.
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Nicolle Le Gronnais dit le bon Abbé (13..-1452)
Nicolle le Gronnais est abbé de Saint-Vincent de 1435 à 1452. Il meurt le 22 mai 1452. Une inscription placée sur un pilier du chœur rappelle ses mérites : il a reconstruit l'église abbatiale et le cloître, remboursé les dettes de l'abbaye et est parti en pèlerinage à Rome puis à Jérusalem en 1450-1451.
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Odeliette Augustaire (13..-14..)
Odeliette Augustaire est la fille de Aubert Augustaire et de Marguerite de Tournay, tous deux changeurs de la ville. Elle épouse Jean Le Gronnais dit Crépy avant 1438. L'inscription de l'annonciation, qui se trouvait dans le couvent du Petit-Clairvaux datée de 1426 porte les écus armoriés des Gronnais et des Augustaire. L'écu des Augustaire ressemble fortement à celui des Heu, ce qui a amené certains érudits et historiens à identifier à tord la femme de Jean Le Gronnais comme Odeliette de Heu.
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Pentecôte Le Gronnais (13..-13..)
Pentecôte Le Gronnais est la fille de Jean Le Gronnais dit l'échevin et de Catherine de Warise. Elle épouse en premières noces Henriat Bataille. Devenue veuve entre 1359 et 1366, elle se remarie avec Guillaume Poujoise dit Pallemant. Un conflit éclate entre son époux et la cité concernant la succession du fils de son premier lit, Jennat Bataille, avec son second époux. Elle meurt à une date inconnue après 1366.
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Perrette Baudoche (148.-1531)
Perrette est la fille de Pierre Baudoche avec sa troisième épouse Bonne de la Marck. Sa vie a été mouvementée. A 11 ans, elle est fiancée à Jean Le Gronnais, fils de François Le Gronnais et de Perrette Louve, âgé lui de 21 ans. Il est convenu d'attendre que Perrette soit âgée de 13 ans avant de célébrer le mariage. Mais Jean meurt à 21 ans le 8 novembre 1502 avant la célébration du mariage. Elle est ensuite fiancée à Androuin Roucel le 8 juillet 1503, et ils se marient le lendemain. Les époux se brouillent et entrent en procès en 1512. Le conflit s'envenime, Robert de la Marck, oncle de Perrette, menaçant la cité de représailles militaires si sa nièce n'obtient pas le divorce.
Après avoir fait appel à la cour de Rome en 1515, Perrette fait annuler son mariage, au motif de l'impuissance de l'époux et de la non consommation du mariage. Elle se remarie le 20 novembre 1516 au château de Moulin avec Bernard de Norroy, dans un costume de jeune fille, ce qui cause un nouveau scandale. Devenue veuve, elle part en pèlerinage à Jérusalem en 1520.
Elle meurt le 14 août 1531, son corps est inhumé au couvent des Dames prêcheresses de Metz.
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Perrette Dieu-Ami (14..-1452)
Fille de Jean Dieu-Ami et de Marie Drouin, Perrette Dieu-Ami est la première épouse de Renaud Le Gronnais, avec qui elle se marie à une date inconnue avant 1447. D'après les observation de Dupré de Geneste, son tombeau était décoré de 18 statues qui l'auraient représenté avec ses 17 enfants, dont les noms étaient peints en lettres blanches : Dame Perrette, Jean, Poincignon, Odowain?, Didier, Renaud, Ferry, Jean, Perrin, Philippe, Collignon, Claude, Christophe, Perrette, Henriette, François. Les trois derniers s'avéraient illisibles. Seuls cinq enfants de Perrette Dieu-Ami et de Renaud sont connus : leurs noms concordent avec cette liste : Jean, Renaud, Henriette, Poincignon, Pierre et François. Perrette meurt le 23 juin 1452. Sa sépulture se trouve en l'église Saint-Maximin.
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Perrette Le Gronnais (13..-13..)
Perrette Le Gronnais est la fille de Nicolle Le Gronnais et de Marguerite de Raigecourt. Elle se marie avec Perrin Mortel. Ce dernier meurt entre 1347 et 1360 laissant son épouse veuve qui meurt à son tour après 1367. Deux enfants sont connus de leur union : Alixette et Nicolle.
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Perrette Louve (14..-1489)
Perrette Louve est la fille de Thiébaut Louve et de Marguerite de Heu. Elle est la première femme de François Le Gronnais. Elle est la riche et unique héritière de Thiébaut Louve, la famille ayant été décimée par la terrible épidémie de 1466. Elle meurt en couches le 3 août 1489. Tous ses biens, notamment la terre de Laquenexy et le gagnage de La Horgne, reviennent à son époux. Sa sépulture se trouve en l'église Saint-Maximin.
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Perrette Roucel (148.-1508)
Fille de Perrin Roucel et de Françoise Coeur de Fer, Perrette Roucel est la première et unique femme de Thiébaut Le Gronnais, qu'elle épouse le 20 juin 1497, âgée de seulement 9 ou 10 ans. Cela s'explique notamment du fait qu'elle est l'unique et riche héritière des Roucel, son père étant décédé en 1490. La famille est durement touchée par l'épidémie de peste de 1508, qui fauche Perrette et deux de ses enfants, Anne et François. Elle meurt le 18 juillet 1508, laissant Thiébaut veuf. Elle est inhumée au couvent des Célestins.
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Perrin de Raigecourt (13..-14..)
Perrin de Raigecourt est le fils de Jean de Raigecourt dit Xappel et de Mahaut Le Hungre. Seigneur de Jouy, il épouse Jennette, fille de Werry Le Gronnais et d'Alix de Tournay. Le couple a deux filles, Catherine et Mahaut, qui meurent toutes deux durant la terrible épidémie de peste de 1466, laissant Perrin sans descendance. Il meurt à une date inconnue après 1427.
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Perrin Le Gronnais (13..-1402)
Perrin Le Gronnais est le fils de Jean Le Gronnais dit Payebon et le Chevalier et Jacomette Dieu-Ami. En 1399, il participe à l'expédition en Prusse aux côtés de Jacques I Desch et d'autres messins. Il meurt le 27 octobre 1402, encore jeune adulte et célibataire, sans avoir encore été inscrit en paraige.
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Perrin Le Gronnais (14..-1474)
Perrin Le Gronnais est le fils de Renaud Le Gronnais et de Perrette Dieu-Ami. Avant sa carrière municipale, il était chanoine de la cathédrale. Puis, il se marie avec Catherine Chaverson le 3 août 1467. En 1468, il est cité par le chapitre de la cathédrale à comparaître devant la justice de l'évêque à Vic-sur-Seille, mais les autorités urbaines s'interposent et refusent. Perrin meurt jeune adulte le 26 juillet 1474, laissant Catherine veuve. Elle se marie en secondes noces avec Nicolle Desch, puis en troisièmes noces avec Louis de Lenoncourt. Le corps de Perrin Le Gronnais est inhumé au couvent des Frères prêcheurs (dominicains).
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Perrin Mortel (13..-13..)
Perrin Mortel est le fils de Jacomin Mortel et d'une certaine Isabelle. Il épouse Perrette, fille de Nicolle Le Gronnais et de Marguerite de Raigecourt . Il meurt laissant veuve son épouse entre à une
et 1360.